Depuis quatre mois, les salariés de Satrec Vitalait ne reçoivent plus leurs salaires, une situation qui impacte gravement leur quotidien. Cette injustice a poussé les employés à s’organiser et à réclamer leurs droits, en demandant à être payés pour le mois d’août. En réponse à cette démarche légitime, cinq représentants syndicaux ont été arrêtés et détenus pendant près de 96 heures. Ils ont ensuite été déférés devant le procureur, placés sous mandat de dépôt et incarcérés à Rebeuss. Leur audience est prévue pour le vendredi prochain.
Un long passif d'injustices et de non-respect des droits
Cette crise n’est malheureusement pas un cas isolé pour les travailleurs de Satrec Vitalait. Selon eux, cela fait des années que l'entreprise, dirigée par M. Chawki Haïdouss, enfreint les droits des travailleurs et bafoue les lois du travail en vigueur au Sénégal. Parmi les nombreuses infractions relevées, on compte :
1. Non-paiement des congés : Les congés ne sont pas payés, une violation grave du Code du travail.
2. Absence de bulletins de paie : Les employés n’ont plus reçu de bulletins de paie depuis des années, ce qui nuit à la transparence salariale.
3. Non-versement des cotisations sociales : Les cotisations à la CSS, l'IPM et l'IPRES ne sont pas effectuées, privant les employés de couverture sociale et de retraite.
4. Conditions de travail précaires : L'entreprise Rozessim, opérant au sein de Satrec Vitalait, semble également ignorer les droits des travailleurs, soulevant de sérieux doutes sur la légalité de ses activités.
Les travailleurs appellent ainsi les autorités à auditer cette entreprise et à mettre fin à ces injustices flagrantes.
Un appel urgent aux autorités
Face à cette gestion jugée irresponsable de la part de M. Haïdouss, les employés lancent un appel pressant à l’État pour qu’il intervienne rapidement. Plus de 350 emplois sont en danger, et si rien n’est fait, des centaines de familles risquent de sombrer dans la précarité. Les employés de Satrec Vitalait demandent que leurs droits soient respectés, conformément aux lois en vigueur au Sénégal. Ils réclament non seulement leurs salaires, mais aussi le versement des cotisations sociales, le paiement des congés et la régularisation des conditions de travail.
Un cri de détresse pour la justice sociale
Les travailleurs de Satrec Vitalait ne demandent que le respect de leurs droits fondamentaux. Ils invitent les autorités à enquêter sur les pratiques douteuses de l'entreprise et à prendre des mesures pour garantir la justice sociale pour tous. Ensemble, ils luttent pour mettre fin aux abus et obtenir ce qui leur revient de droit : des salaires, une couverture sociale, des congés payés et le respect des lois du travail.
Un long passif d'injustices et de non-respect des droits
Cette crise n’est malheureusement pas un cas isolé pour les travailleurs de Satrec Vitalait. Selon eux, cela fait des années que l'entreprise, dirigée par M. Chawki Haïdouss, enfreint les droits des travailleurs et bafoue les lois du travail en vigueur au Sénégal. Parmi les nombreuses infractions relevées, on compte :
1. Non-paiement des congés : Les congés ne sont pas payés, une violation grave du Code du travail.
2. Absence de bulletins de paie : Les employés n’ont plus reçu de bulletins de paie depuis des années, ce qui nuit à la transparence salariale.
3. Non-versement des cotisations sociales : Les cotisations à la CSS, l'IPM et l'IPRES ne sont pas effectuées, privant les employés de couverture sociale et de retraite.
4. Conditions de travail précaires : L'entreprise Rozessim, opérant au sein de Satrec Vitalait, semble également ignorer les droits des travailleurs, soulevant de sérieux doutes sur la légalité de ses activités.
Les travailleurs appellent ainsi les autorités à auditer cette entreprise et à mettre fin à ces injustices flagrantes.
Un appel urgent aux autorités
Face à cette gestion jugée irresponsable de la part de M. Haïdouss, les employés lancent un appel pressant à l’État pour qu’il intervienne rapidement. Plus de 350 emplois sont en danger, et si rien n’est fait, des centaines de familles risquent de sombrer dans la précarité. Les employés de Satrec Vitalait demandent que leurs droits soient respectés, conformément aux lois en vigueur au Sénégal. Ils réclament non seulement leurs salaires, mais aussi le versement des cotisations sociales, le paiement des congés et la régularisation des conditions de travail.
Un cri de détresse pour la justice sociale
Les travailleurs de Satrec Vitalait ne demandent que le respect de leurs droits fondamentaux. Ils invitent les autorités à enquêter sur les pratiques douteuses de l'entreprise et à prendre des mesures pour garantir la justice sociale pour tous. Ensemble, ils luttent pour mettre fin aux abus et obtenir ce qui leur revient de droit : des salaires, une couverture sociale, des congés payés et le respect des lois du travail.