Ces convoyages de drogues laissent penser que les narcotrafiquants ne comptent guère abandonner la destination Sénégal. En réalité, c’est comme s’ils tiraient profit des failles de la législation sénégalaise pour acheminer leur marchandise de la mort dans notre pays.
Alors que dans des pays comme le Soudan, le Nigeria, la Chine, l’Indonésie, l’Arabie Saoudite et les États-Unis, le trafic de drogue est criminalisé et la peine de mort appliquée aux trafiquants, au Sénégal cette peine capitale n’existe pas.
De plus, les trafiquants européens sont souvent libérés après quelques semaines, tandis que leurs complices sénégalais, eux, croupissent durant de longues années en prison où ils sont oubliés. C’est le cas de notre compatriote « Toubèye ».
L’adage qui dit que « Bien mal acquis ne profite jamais » est régulièrement démenti au Sénégal, où l'argent sale de la drogue profite bel et bien aux narcotrafiquants. En effet, les trafiquants et autres parrains sénégalais de la drogue ne sont pratiquement jamais dépouillés de leurs biens.
Ailleurs, une fois arrêté, jugé et condamné, le narcotrafiquant voit tous ses biens mobiliers, immobiliers et avoirs bancaires saisis. Même en attendant un procès, le trafiquant présumé devrait subir une mesure conservatoire, c’est-à-dire la confiscation de ses biens et avoirs le temps qu'il soit jugé.
En effet, la justice, dans ses différentes dispositions, ordonne la confiscation au profit du Trésor public des produits tirés de la drogue, ainsi que des biens mobiliers ou immobiliers dans lesquels les fonds de la drogue sont transformés ou convertis.
Il reste que le Sénégal est l’un des rares pays au monde où un trafiquant de drogue arrêté et condamné ne s’inquiète pas pour son patrimoine, généralement composé d’immeubles, de parcs de voitures de luxe, de restaurants, d’agences de voyages et d’auberges, construits ou implantés partout à Dakar, notamment à Sacré-Cœur, Almadies, Mamelles, Dakar-Plateau, Saly-Portudal, Yoff, etc. Sans oublier les différentes entreprises prête-noms et autres comptes bancaires offshore.
Il est vrai que la lutte contre le trafic international de drogue menée par les braves douaniers a porté ses fruits, mais la lutte contre le blanchiment de l’argent de la drogue semble être un échec quasi complet. La répression pénale, voire la punition, est un autre débat ! À bien des égards, l'argent sale de la drogue profite bien aux narcotrafiquants, qui ne sont donc pas près d’abandonner la destination Sénégal, où les attendent nos braves douaniers.
Alors que dans des pays comme le Soudan, le Nigeria, la Chine, l’Indonésie, l’Arabie Saoudite et les États-Unis, le trafic de drogue est criminalisé et la peine de mort appliquée aux trafiquants, au Sénégal cette peine capitale n’existe pas.
De plus, les trafiquants européens sont souvent libérés après quelques semaines, tandis que leurs complices sénégalais, eux, croupissent durant de longues années en prison où ils sont oubliés. C’est le cas de notre compatriote « Toubèye ».
L’adage qui dit que « Bien mal acquis ne profite jamais » est régulièrement démenti au Sénégal, où l'argent sale de la drogue profite bel et bien aux narcotrafiquants. En effet, les trafiquants et autres parrains sénégalais de la drogue ne sont pratiquement jamais dépouillés de leurs biens.
Ailleurs, une fois arrêté, jugé et condamné, le narcotrafiquant voit tous ses biens mobiliers, immobiliers et avoirs bancaires saisis. Même en attendant un procès, le trafiquant présumé devrait subir une mesure conservatoire, c’est-à-dire la confiscation de ses biens et avoirs le temps qu'il soit jugé.
En effet, la justice, dans ses différentes dispositions, ordonne la confiscation au profit du Trésor public des produits tirés de la drogue, ainsi que des biens mobiliers ou immobiliers dans lesquels les fonds de la drogue sont transformés ou convertis.
Il reste que le Sénégal est l’un des rares pays au monde où un trafiquant de drogue arrêté et condamné ne s’inquiète pas pour son patrimoine, généralement composé d’immeubles, de parcs de voitures de luxe, de restaurants, d’agences de voyages et d’auberges, construits ou implantés partout à Dakar, notamment à Sacré-Cœur, Almadies, Mamelles, Dakar-Plateau, Saly-Portudal, Yoff, etc. Sans oublier les différentes entreprises prête-noms et autres comptes bancaires offshore.
Il est vrai que la lutte contre le trafic international de drogue menée par les braves douaniers a porté ses fruits, mais la lutte contre le blanchiment de l’argent de la drogue semble être un échec quasi complet. La répression pénale, voire la punition, est un autre débat ! À bien des égards, l'argent sale de la drogue profite bien aux narcotrafiquants, qui ne sont donc pas près d’abandonner la destination Sénégal, où les attendent nos braves douaniers.