
Selon lui, cette exclusion fait suite à ses mises en garde concernant une éventuelle défaite lors des prochaines élections locales. Il a également insisté sur la nécessité de respecter les alliés, en les impliquant et en les concertant sur les grandes questions politiques.
Accusant Aïda Mbodji de diriger de manière autoritaire, Cheikh Sidiya Diop, cité par la source, l’a surnommée «Elena Ceausescu», en référence à son style de gouvernance, qu’il qualifie de «dictatorial». Il précise que cette exclusion n’a rien de surprenant et qu’elle s’inscrit dans une série d’injustices et de « enfantillages » dont il a été victime, toujours de la part de l'ancienne ministre sous le régime de Abdoulaye Wade.
Diop n’hésite pas à affirmer, qu'Aïda Mbodji est désormais «le principal problème de la coalition Diomaye-Président», qu’elle dirige en tant que «présidente à vie», malgré une popularité en déclin, qu’il qualifie de «chroniquement impopulaire».
Cheikh Sidiya Diop conclut en dénonçant cette situation, qu'il juge «honteuse» et «scandaleuse».
Accusant Aïda Mbodji de diriger de manière autoritaire, Cheikh Sidiya Diop, cité par la source, l’a surnommée «Elena Ceausescu», en référence à son style de gouvernance, qu’il qualifie de «dictatorial». Il précise que cette exclusion n’a rien de surprenant et qu’elle s’inscrit dans une série d’injustices et de « enfantillages » dont il a été victime, toujours de la part de l'ancienne ministre sous le régime de Abdoulaye Wade.
Diop n’hésite pas à affirmer, qu'Aïda Mbodji est désormais «le principal problème de la coalition Diomaye-Président», qu’elle dirige en tant que «présidente à vie», malgré une popularité en déclin, qu’il qualifie de «chroniquement impopulaire».
Cheikh Sidiya Diop conclut en dénonçant cette situation, qu'il juge «honteuse» et «scandaleuse».