À la question en wolof de savoir, « que faire pour trouver une solution à la crise actuelle que traverse le pays ? », M. Seck répond : « Ma conviction est que l’affaire Ousmane Sonko, il faut la régler selon la loi. Qu’on tue 90% des Sénégalais et que les 10% restent en vie, c’est ma conviction. La loi est dure, c’est la loi (...) », condamne le communiqué du tribunal des pairs.
Lequel ajoute : « Pape Ngagne Ndiaye qui anime l’émission, n’a pas daigné recadrer son invité ». Or, « ces propos, d’une gravité extrême, constituent une menace à la cohésion nationale, une incitation à la violence et un appel au meurtre » et « leur diffusion par la TFM constitue une violation flagrante des dispositions du Code de la presse et de la Charte des journalistes, qui stipulent que le journaliste et technicien des médias doivent s’interdire la diffamation, la calomnie, le plagiat, les accusations sans fondement, l’injure, l’apologie de la violence et la haine entre des groupes sociaux ».
Le Cored recadre, par la même occasion, « les sites Seneweb et Senego (qui) ont repris ces propos inacceptables », ajoutant que « Monsieur Moustapha Diakhaté avait tenu auparavant, un discours du genre sur Senegal7 et Seneweb».
« Le CORED ne cesse d’alerter les professionnels des médias à ne pas relayer de tels propos. Par conséquent, il s’est autosaisi du dossier pour déférer cette affaire devant son Tribunal des pairs », souligne le document.
Celui-ci invite encore les journalistes et techniciens des médias, « à faire davantage preuve de responsabilité dans la collecte, le traitement et surtout, la diffusion des informations dans ce contexte de fortes tensions ».
Pour finir, le Cored appelle « les médias, à ne pas se faire écho de propos qui peuvent mettre à mal la stabilité sociale et les exhorte à censurer les appels à la violence, les discours stigmatisants, les propos haineux, les images choquantes, les injures et/ou tout ce qui pourrait porter atteinte à notre vivre ensemble».
Lequel ajoute : « Pape Ngagne Ndiaye qui anime l’émission, n’a pas daigné recadrer son invité ». Or, « ces propos, d’une gravité extrême, constituent une menace à la cohésion nationale, une incitation à la violence et un appel au meurtre » et « leur diffusion par la TFM constitue une violation flagrante des dispositions du Code de la presse et de la Charte des journalistes, qui stipulent que le journaliste et technicien des médias doivent s’interdire la diffamation, la calomnie, le plagiat, les accusations sans fondement, l’injure, l’apologie de la violence et la haine entre des groupes sociaux ».
Le Cored recadre, par la même occasion, « les sites Seneweb et Senego (qui) ont repris ces propos inacceptables », ajoutant que « Monsieur Moustapha Diakhaté avait tenu auparavant, un discours du genre sur Senegal7 et Seneweb».
« Le CORED ne cesse d’alerter les professionnels des médias à ne pas relayer de tels propos. Par conséquent, il s’est autosaisi du dossier pour déférer cette affaire devant son Tribunal des pairs », souligne le document.
Celui-ci invite encore les journalistes et techniciens des médias, « à faire davantage preuve de responsabilité dans la collecte, le traitement et surtout, la diffusion des informations dans ce contexte de fortes tensions ».
Pour finir, le Cored appelle « les médias, à ne pas se faire écho de propos qui peuvent mettre à mal la stabilité sociale et les exhorte à censurer les appels à la violence, les discours stigmatisants, les propos haineux, les images choquantes, les injures et/ou tout ce qui pourrait porter atteinte à notre vivre ensemble».