Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké, ce digne héritier de Serigne Touba, qui est venu remettre sur les rails l'islam et le comportement de certains musulmans, a obtenu une parfaite formation et une connaissance spirituelle de haute facture, en subissant toutes les épreuves aux côtés de son vénéré père, en déportation, en Mauritanie.
Ce qui lui a permis d'être, en tant que digne fils de son père, à la hauteur des principales missions que son illustre et vénéré père Khadimou Rassoul lui avaient confiées dont le ramener à Touba dans la paix, son dernier vœu auquel il tenait.
Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké s'est acquitté de cette noble mission. Et sans tarder, il a lancé les travaux des fondements de l'édifice actuel qu'est la sainte mosquée de Touba, achevée en 1963 par El Hadji Mouhamadou Fadel Mbacké dit Galass, son successeur au Khalifat en 1945, à son rappel à dieu. Remplacer dignement Khadimou Rassoul n'était pas chose aisée.
Mais Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké n'avait aucune crainte à cela, vu que le saint père Borom Touba, fondateur de la confrérie mouride, l'y avait déjà préparé pour toutes ces épreuves qu’il connaît à sa disparition en juillet 1927.
L'endurance dans les épreuves, la foi inébranlable et sereine et la plénitude au travail sans cesse, lui avaient été invoqués pour toutes forces. Il ne mangeait que très peu, ne dormait pas beaucoup, et travaillait tout le temps à l'édification des fondements de la grande mosquée, son œuvre monumentale sur terre, à la pose des rails, et aux champs.
Pour être cet homme de DIEU, de sa dimension, Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké a traversé la difficulté de l'époque. La deuxième guerre mondiale était en cours jusqu'à son rappel à dieu. Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké est incontestablement un bon guide spirituel de grande facture, pour avoir su intelligemment résister au colon blanc et qu'il a finalement enrôlé, pour en même temps poser le mouridisme sur son socle. Il a su, en bon père, couver la famille de Serigne Touba pendant son absence, en suppléant à son père et maître, Mame Thierno Birahim Ibra Faty. Il a réorganisé la confrérie dans un contexte où il n'était pas évident, ni facile d'œuvrer à cela sous la colonisation française. Mais, en bon gardien averti, Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké a su mettre en œuvre ce qui était nécessaire pour que la confrérie mouride ne souffre d'aucun obstacle pour son épanouissement et son rayonnement dans un élan de solidarité et de développement à travers le monde
Tribune
Ce qui lui a permis d'être, en tant que digne fils de son père, à la hauteur des principales missions que son illustre et vénéré père Khadimou Rassoul lui avaient confiées dont le ramener à Touba dans la paix, son dernier vœu auquel il tenait.
Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké s'est acquitté de cette noble mission. Et sans tarder, il a lancé les travaux des fondements de l'édifice actuel qu'est la sainte mosquée de Touba, achevée en 1963 par El Hadji Mouhamadou Fadel Mbacké dit Galass, son successeur au Khalifat en 1945, à son rappel à dieu. Remplacer dignement Khadimou Rassoul n'était pas chose aisée.
Mais Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké n'avait aucune crainte à cela, vu que le saint père Borom Touba, fondateur de la confrérie mouride, l'y avait déjà préparé pour toutes ces épreuves qu’il connaît à sa disparition en juillet 1927.
L'endurance dans les épreuves, la foi inébranlable et sereine et la plénitude au travail sans cesse, lui avaient été invoqués pour toutes forces. Il ne mangeait que très peu, ne dormait pas beaucoup, et travaillait tout le temps à l'édification des fondements de la grande mosquée, son œuvre monumentale sur terre, à la pose des rails, et aux champs.
Pour être cet homme de DIEU, de sa dimension, Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké a traversé la difficulté de l'époque. La deuxième guerre mondiale était en cours jusqu'à son rappel à dieu. Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké est incontestablement un bon guide spirituel de grande facture, pour avoir su intelligemment résister au colon blanc et qu'il a finalement enrôlé, pour en même temps poser le mouridisme sur son socle. Il a su, en bon père, couver la famille de Serigne Touba pendant son absence, en suppléant à son père et maître, Mame Thierno Birahim Ibra Faty. Il a réorganisé la confrérie dans un contexte où il n'était pas évident, ni facile d'œuvrer à cela sous la colonisation française. Mais, en bon gardien averti, Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké a su mettre en œuvre ce qui était nécessaire pour que la confrérie mouride ne souffre d'aucun obstacle pour son épanouissement et son rayonnement dans un élan de solidarité et de développement à travers le monde
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