Ousmane Sonko ne ment pas seulement, il a cette capacité rare à inventer de toutes pièces une situation pour servir son propos. Il est mythomane. Le voici scénariste.
Le Prix du meilleur menteur en politique devrait être décerné à Ousmane Sonko pour tous les "mensonges qu'il a répété en boucle" depuis des années. A terme, nous avons recensé 1164 mensonges, manipulation, actes de tortuosité.
C’est comme si le mur du mensonge, de la manipulation et de l’affabulation s’est écroulé sur la tête d’Ousmane Sonko qui, ne sachant plus comment éviter une condamnation inéluctable, s’accroche à des actes de manipulation grossière pour retarder l’action de la justice, aussi longtemps que possible.
Tout ce qu'il sort de sa bouche n'est que songes et mensonges. Ousmane SONKO qui a fait du mensonge, un instrument d’ascension politique et social, pour atteindre ses objectifs dont l’un est d’éviter son procès contre Adji SARR.
Il est arrivé en politique sans valeurs, sans éthique, sans principes et y évolue en prédateur, en charognard, en véritable macrophage simplement. Il est contre-valeur, un contre-exemple pour la jeunesse.
Les Sénégalais découvrent jour après jour l'étendue des mensonges du leader de Pastef. Désormais, le doute a laissé place à la certitude : le paysage politique compte en son sein l'un des plus grands mythomanes de l'histoire politique du Sénégal.
La recension des affabulations du maire de Ziguinchor donne le vertige, à tel point que dix doigts ne suffisent pas pour les compter.
Son dernier mensonge est quand il affirme qu’il n’a pas reçu sa convocation pour son procès avec Adji Sarr. Ce qui est totalement faux.
Si Ousmane Sonko a la capacité d'imagination d'un scénariste de Hollywood ou d'un auteur de roman, il semble aussi être un affabulateur qui continue d’élever des tirades sur un complot d’État. Aporétique !
En vérité, le leader de Pastef rêve d'un changement de régime pour enterrer le dossier de sa victime Adji Sarr. D’ailleurs, les Sénégalais ont remarqué Sonko joue sa dernière carte pour éviter son face à face avec la fille. On a d'ailleurs vu dans les réseaux sociaux, Adji Sarr qui suppliait les forces de l'ordre, de ne pas arrêter Sonko qui selon elle, cherche à tout prix à étouffer le dossier du viol. Pour le Maire de Ziguinchor, il pense plus honorable d’être arrêté pour des motifs politiques que pour le viol.
Ainsi, pour ne pas affronter le regard accusateur de Adji Sarr qui n’hésitera pas à revenir sur les détails du viol, à la barre, Sonko est prêt à tout : brûler des pneus, menacer ses adversaires, s'attaquer aux forces de sécurité, dénigrer la justice, collaborer avec le MFDC, appeler à l'insurrection, dégoter dans son imagination fertile : un projet d'assassinat oublié le lendemain.
A Ziguinchor, il utilise les jeunes comme bouclier humain alors que son bilan à Ziguinchor se résume à des jeunes morts dans ses manifestations interdites, les rues rebaptisées sans frais, les marchés, les places publiques, les grandes artères de la ville, des édifices publics, des écoles, des hôpitaux, des lieux de culte sont engloutis dans les eaux pluviales. Voilà le jeune «Sonkonnerie », incapable de gérer une Mairie, qui ambitionne de diriger un pays.
Lorsque des étudiants de Ziguinchor de l’UCAD réclament 5 millions pour payer leurs arriérés de logements à Dakar, Sonko s’offre l’indignité de financer un concert à 20 millions de nos francs. Ni la jeunesse ni l’éducation n’entrent dans ses priorités.
Le comportement de Sonko nous amène à comprendre sans aucun doute, sa motivation à vouloir mettre le feu dans le pays. Seulement, il se rend compte du grand décalage entre ses déclarations de guerre et sa capacité réelle à pouvoir passer à l’acte. C’est un poltron bavard, qui n’a que sa langue bien acérée comme épée, et il sait qu’il n’a pas la force de son ambition satanique.
Sa carrière politique est menacée par ses dossiers judiciaires (viol, diffamation) qu'il cherche à dissimuler à travers une crise politique artificielle. Le Sénégal n’a jamais été en crise politique. Car, toutes les Institutions fonctionnement : l’Assemblée nationale, le Gouvernement, la Justice, le CESE, le HCCT, l’Armée, la Gendarmerie, la Police…
C’est justement une race d’opposants, conscients de sa faiblesse politique, face au camp du pouvoir, qui gesticulent pour créer un semblant de chaos social. Cette minorité volubile est en intelligence avec d’ex défenseurs des droits humains régionalistes, comme Alioune TINE, Seydi GASSAMA qui puisent leur sève nourricière de ces crises politiques. Que le Sénégal soit épargné comme il l’a toujours été.
Les tonneaux vides font beaucoup de bruit, mais rien ne se passera. Que vous remuiez ciel et terre, Sonko sera jugé - come tout autre citoyen. Vous ne nous faites pas peur. Comme dit si bien l'anglais, " a barking dog does not bite." Pour son plaisir charnel dans un jakouzi, ce n’est pas à lui de poser des conditions à la justice. Quand on est convoqué devant une chambre criminelle, on n'a pas de condition à poser.
Ousmane Sonko ne peut être au-dessus de la loi. S’il décide de se comporter en justiciable de bonne foi il n'a qu'à aller au tribunal, comme il le souhaite, et aucune action ne sera tentée par les Forces de l’ordre, par contre, s'il décide de troubler l'ordre public, les forces de défense et de sécurité agiront conformément à la réglementation dans leurs compétences de maintien de l'ordre public.
L'Etat a décidé d'en découdre avec ces anarchistes une fois pour toute - quitté à marcher sur des cadavres pour sauver la république. Vive nos forces de défense et de sécurité
Demain, la vérité va poindre car le mensonge peut faire le tour du monde, le temps que la vérité met ses chaussettes. Mentez, mentez, il en reste toujours…
Focus sur 2024 ! La majorité présidentielle doit compter sur le bilan du président Macky Sall pour le réélire en 2024. Car, dans tous les domaines, de sa prise de pouvoir en 2012 jusqu’en 2022, le chef de l’Etat a transformé le Sénégal de bout en bout par des réalisations majeures.
Mouhamadou Lamine Massaly
Président de l’Union pour une Nouvelle République (UNR)
Le Prix du meilleur menteur en politique devrait être décerné à Ousmane Sonko pour tous les "mensonges qu'il a répété en boucle" depuis des années. A terme, nous avons recensé 1164 mensonges, manipulation, actes de tortuosité.
C’est comme si le mur du mensonge, de la manipulation et de l’affabulation s’est écroulé sur la tête d’Ousmane Sonko qui, ne sachant plus comment éviter une condamnation inéluctable, s’accroche à des actes de manipulation grossière pour retarder l’action de la justice, aussi longtemps que possible.
Tout ce qu'il sort de sa bouche n'est que songes et mensonges. Ousmane SONKO qui a fait du mensonge, un instrument d’ascension politique et social, pour atteindre ses objectifs dont l’un est d’éviter son procès contre Adji SARR.
Il est arrivé en politique sans valeurs, sans éthique, sans principes et y évolue en prédateur, en charognard, en véritable macrophage simplement. Il est contre-valeur, un contre-exemple pour la jeunesse.
Les Sénégalais découvrent jour après jour l'étendue des mensonges du leader de Pastef. Désormais, le doute a laissé place à la certitude : le paysage politique compte en son sein l'un des plus grands mythomanes de l'histoire politique du Sénégal.
La recension des affabulations du maire de Ziguinchor donne le vertige, à tel point que dix doigts ne suffisent pas pour les compter.
Son dernier mensonge est quand il affirme qu’il n’a pas reçu sa convocation pour son procès avec Adji Sarr. Ce qui est totalement faux.
Si Ousmane Sonko a la capacité d'imagination d'un scénariste de Hollywood ou d'un auteur de roman, il semble aussi être un affabulateur qui continue d’élever des tirades sur un complot d’État. Aporétique !
En vérité, le leader de Pastef rêve d'un changement de régime pour enterrer le dossier de sa victime Adji Sarr. D’ailleurs, les Sénégalais ont remarqué Sonko joue sa dernière carte pour éviter son face à face avec la fille. On a d'ailleurs vu dans les réseaux sociaux, Adji Sarr qui suppliait les forces de l'ordre, de ne pas arrêter Sonko qui selon elle, cherche à tout prix à étouffer le dossier du viol. Pour le Maire de Ziguinchor, il pense plus honorable d’être arrêté pour des motifs politiques que pour le viol.
Ainsi, pour ne pas affronter le regard accusateur de Adji Sarr qui n’hésitera pas à revenir sur les détails du viol, à la barre, Sonko est prêt à tout : brûler des pneus, menacer ses adversaires, s'attaquer aux forces de sécurité, dénigrer la justice, collaborer avec le MFDC, appeler à l'insurrection, dégoter dans son imagination fertile : un projet d'assassinat oublié le lendemain.
A Ziguinchor, il utilise les jeunes comme bouclier humain alors que son bilan à Ziguinchor se résume à des jeunes morts dans ses manifestations interdites, les rues rebaptisées sans frais, les marchés, les places publiques, les grandes artères de la ville, des édifices publics, des écoles, des hôpitaux, des lieux de culte sont engloutis dans les eaux pluviales. Voilà le jeune «Sonkonnerie », incapable de gérer une Mairie, qui ambitionne de diriger un pays.
Lorsque des étudiants de Ziguinchor de l’UCAD réclament 5 millions pour payer leurs arriérés de logements à Dakar, Sonko s’offre l’indignité de financer un concert à 20 millions de nos francs. Ni la jeunesse ni l’éducation n’entrent dans ses priorités.
Le comportement de Sonko nous amène à comprendre sans aucun doute, sa motivation à vouloir mettre le feu dans le pays. Seulement, il se rend compte du grand décalage entre ses déclarations de guerre et sa capacité réelle à pouvoir passer à l’acte. C’est un poltron bavard, qui n’a que sa langue bien acérée comme épée, et il sait qu’il n’a pas la force de son ambition satanique.
Sa carrière politique est menacée par ses dossiers judiciaires (viol, diffamation) qu'il cherche à dissimuler à travers une crise politique artificielle. Le Sénégal n’a jamais été en crise politique. Car, toutes les Institutions fonctionnement : l’Assemblée nationale, le Gouvernement, la Justice, le CESE, le HCCT, l’Armée, la Gendarmerie, la Police…
C’est justement une race d’opposants, conscients de sa faiblesse politique, face au camp du pouvoir, qui gesticulent pour créer un semblant de chaos social. Cette minorité volubile est en intelligence avec d’ex défenseurs des droits humains régionalistes, comme Alioune TINE, Seydi GASSAMA qui puisent leur sève nourricière de ces crises politiques. Que le Sénégal soit épargné comme il l’a toujours été.
Les tonneaux vides font beaucoup de bruit, mais rien ne se passera. Que vous remuiez ciel et terre, Sonko sera jugé - come tout autre citoyen. Vous ne nous faites pas peur. Comme dit si bien l'anglais, " a barking dog does not bite." Pour son plaisir charnel dans un jakouzi, ce n’est pas à lui de poser des conditions à la justice. Quand on est convoqué devant une chambre criminelle, on n'a pas de condition à poser.
Ousmane Sonko ne peut être au-dessus de la loi. S’il décide de se comporter en justiciable de bonne foi il n'a qu'à aller au tribunal, comme il le souhaite, et aucune action ne sera tentée par les Forces de l’ordre, par contre, s'il décide de troubler l'ordre public, les forces de défense et de sécurité agiront conformément à la réglementation dans leurs compétences de maintien de l'ordre public.
L'Etat a décidé d'en découdre avec ces anarchistes une fois pour toute - quitté à marcher sur des cadavres pour sauver la république. Vive nos forces de défense et de sécurité
Demain, la vérité va poindre car le mensonge peut faire le tour du monde, le temps que la vérité met ses chaussettes. Mentez, mentez, il en reste toujours…
Focus sur 2024 ! La majorité présidentielle doit compter sur le bilan du président Macky Sall pour le réélire en 2024. Car, dans tous les domaines, de sa prise de pouvoir en 2012 jusqu’en 2022, le chef de l’Etat a transformé le Sénégal de bout en bout par des réalisations majeures.
Mouhamadou Lamine Massaly
Président de l’Union pour une Nouvelle République (UNR)