Le leader du mouvement Samm Sa Moomel, membre de la coalition Diomaye Président interpelle le sous-préfet. Pour lui, si le maire a choisi de ne pas respecter les délais prévus pour le vote d’un budget, et qu’il considère cette autorisation spéciale comme une rencontre classique pour délibérer sur un objet quelconque, «il devrait tout de même, transmettre aux conseillers, en même temps que la convocation, la demande d’autorisation spéciale de recettes et de dépenses qui établit clairement l’origine des fonds et les prévisions ou propositions»
Il se trouve que, selon lui, les conseillers n’avaient reçu aucun document de budget, encore moins une quelconque explication sur l’objet de la rencontre
À leur grande surprise, se désole-t-il, le maire a proposé «un vote de budget d’une valeur de 80 millions, qu'il a présenté séance tenante, sans aucune préparation».
Or, regrette Cheikh Sadibou Ba, «malgré cette absence d’autorisation, les conseillers municipaux ont voté à l’unanimité cette autorisation spéciale». Pour lui, le maire a présenté «un draft, c’est à dire un brouillon». Il se demande, par conséquent, comment cela peut-il arriver en présence de l’autorité administrative.
Le leader de Samm Sa Moomel appelle le sous-préfet à contrôler la légalité de la gestion et n’entend pas laisser passer puisqu’il annonce l’introduction d’un référé préfectoral dans les prochains jours, au cas où cette alerte n’aurait pas suffi «pour stopper ce genre de pratique».
Il avertit : «Je ne voudrais surtout pas être obligé de saisir l’Ofnac pour des soupçons des objectifs de faute de gestion du conseiller municipal de Médina Sabakh, sauf si vous ne me laissez pas le choix.»
Il se trouve que, selon lui, les conseillers n’avaient reçu aucun document de budget, encore moins une quelconque explication sur l’objet de la rencontre
À leur grande surprise, se désole-t-il, le maire a proposé «un vote de budget d’une valeur de 80 millions, qu'il a présenté séance tenante, sans aucune préparation».
Or, regrette Cheikh Sadibou Ba, «malgré cette absence d’autorisation, les conseillers municipaux ont voté à l’unanimité cette autorisation spéciale». Pour lui, le maire a présenté «un draft, c’est à dire un brouillon». Il se demande, par conséquent, comment cela peut-il arriver en présence de l’autorité administrative.
Le leader de Samm Sa Moomel appelle le sous-préfet à contrôler la légalité de la gestion et n’entend pas laisser passer puisqu’il annonce l’introduction d’un référé préfectoral dans les prochains jours, au cas où cette alerte n’aurait pas suffi «pour stopper ce genre de pratique».
Il avertit : «Je ne voudrais surtout pas être obligé de saisir l’Ofnac pour des soupçons des objectifs de faute de gestion du conseiller municipal de Médina Sabakh, sauf si vous ne me laissez pas le choix.»