Les récentes sorties de certains membres de l’opposition contre le président de l’Assemblée nationale, Moustapha Niasse, ont fait réagir des responsables de l’Alliance des forces de progrès (Afp). En effet, dans un communiqué parvenu à a la rédaction de Le Populaire, hier, le Comité stratégie et action (Csa) de ladite formation politique a apporté une cinglante réponse à tous ceux qui se sont aventurés à s’attaquer à leur leader, tout en appréciant le sang froid de ce dernier.
« Il (Csa) apprécie le sang froid dont il (Moustapha Niasse) a fait montre devant les facéties d’un délinquant notoire à l’argumentaire simplet, qui traîne un complexe et des frustrations profondes, en s’érigeant en avocat du diable, selon le radar de ses bas instincts », martèlent les progressites.
Pour le signataire du document, « ni le bureau de l’Assemblée nationale, ni le président Moustapha Niasse ne sont responsables de la situation qui règne au Pds, parti-instrument d’un homme prisonnier des ses obsessions et qui ne conçoit son rapport avec l’autre que sous l’angle de la domination. Aujourd’hui, le réveil est brutal ». Et pour cause, rappellent les progressistes, c’est « deux franges d’un même parti politique qui se disputaient la présidence d’un groupe parlementaire. Le Président Moustapha Niasse et le bureau de l’Assemblée nationale ont courageusement pris leurs responsabilités en appliquant, en son article 22, le règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui est une Loi organique ».
« Il (Csa) apprécie le sang froid dont il (Moustapha Niasse) a fait montre devant les facéties d’un délinquant notoire à l’argumentaire simplet, qui traîne un complexe et des frustrations profondes, en s’érigeant en avocat du diable, selon le radar de ses bas instincts », martèlent les progressites.
Pour le signataire du document, « ni le bureau de l’Assemblée nationale, ni le président Moustapha Niasse ne sont responsables de la situation qui règne au Pds, parti-instrument d’un homme prisonnier des ses obsessions et qui ne conçoit son rapport avec l’autre que sous l’angle de la domination. Aujourd’hui, le réveil est brutal ». Et pour cause, rappellent les progressistes, c’est « deux franges d’un même parti politique qui se disputaient la présidence d’un groupe parlementaire. Le Président Moustapha Niasse et le bureau de l’Assemblée nationale ont courageusement pris leurs responsabilités en appliquant, en son article 22, le règlement intérieur de l’Assemblée nationale qui est une Loi organique ».