Selon le quotidien L’As, la victime, se sentant flouée, a déposé plainte auprès de la Division des investigations criminelles (DIC). Lors de son interrogatoire, M. Diop a admis les faits, tout en accusant son collaborateur, Ch. Ng, résidant en Norvège.
Néanmoins, ces allégations n'ont pas convaincu les enquêteurs, qui ont placé M. Diop en garde à vue avant de le déférer au parquet pour escroquerie.
Dans un autre cas, selon toujours L'As, P. D. Kâ, un commerçant, a encaissé 2,5 millions de francs pour l'achat d'un véhicule destiné à C. Wade, puis a disparu. Ce dernier, apprenant que le commerçant était déjà en prison pour une affaire similaire, s'est rendu à la DIC pour porter plainte.
P. D. Kâ a été extrait de sa cellule pour une nouvelle audition, au cours de laquelle il a reconnu les faits et sollicité un moratoire, que la victime a refusé. Il a donc été à nouveau déféré au parquet pour abus de confiance portant sur 2,5 millions de francs.
Néanmoins, ces allégations n'ont pas convaincu les enquêteurs, qui ont placé M. Diop en garde à vue avant de le déférer au parquet pour escroquerie.
Dans un autre cas, selon toujours L'As, P. D. Kâ, un commerçant, a encaissé 2,5 millions de francs pour l'achat d'un véhicule destiné à C. Wade, puis a disparu. Ce dernier, apprenant que le commerçant était déjà en prison pour une affaire similaire, s'est rendu à la DIC pour porter plainte.
P. D. Kâ a été extrait de sa cellule pour une nouvelle audition, au cours de laquelle il a reconnu les faits et sollicité un moratoire, que la victime a refusé. Il a donc été à nouveau déféré au parquet pour abus de confiance portant sur 2,5 millions de francs.