La compagnie aérienne nationale Air Sénégal traverse une zone de turbulence. Annonçant des réformes du secteur public et des agences étatiques, avec le « jub, jubal, jubanti » , le secteur du transport aérien devrait être parmi les premiers à être redressé avec la compagnie nationale Air Sénégal SA, avec ses nombreux couacs depuis sa résurrection en 2016.
Une compagnie qui peine à retrouver le bon chemin des airs. Si ce n’est pas un retard de vol, pertes de bagages, absence d’interlocuteur qui est déploré, c’est une mauvaise gestion de la compagnie qui est décriée.
En sus d’une réputation sérieusement entachée, la compagnie nationale est confrontée aux menaces de certains bailleurs de bloquer les avions au sol, faute des échéances. Quatre avions ont failli être cloués au sol par l’un des bailleurs.
Le pire, selon certaines sources de Enquête, a été évité de justesse grâce à un acompte qui aurait été versé par la nouvelle équipe dirigeante. Avec un déficit de 100 milliards, Air Sénégal vit sous perfusion. La compagnie ne vit que par une volonté de l’Etat qui tient à la sauver, lit-on dans Senenews.
Une compagnie qui peine à retrouver le bon chemin des airs. Si ce n’est pas un retard de vol, pertes de bagages, absence d’interlocuteur qui est déploré, c’est une mauvaise gestion de la compagnie qui est décriée.
En sus d’une réputation sérieusement entachée, la compagnie nationale est confrontée aux menaces de certains bailleurs de bloquer les avions au sol, faute des échéances. Quatre avions ont failli être cloués au sol par l’un des bailleurs.
Le pire, selon certaines sources de Enquête, a été évité de justesse grâce à un acompte qui aurait été versé par la nouvelle équipe dirigeante. Avec un déficit de 100 milliards, Air Sénégal vit sous perfusion. La compagnie ne vit que par une volonté de l’Etat qui tient à la sauver, lit-on dans Senenews.