Le mécanicien M. K â, âgé de 18 ans, est condamné à une peine de 2 ans, dont un mois de prison ferme. Il est déclaré coupable de vol d’une moto jakarta.
Les faits se sont déroulés à Pout. Alors que son patron lui avait confié la garde de la moto d’un ami, le jeune M. K. a profité de son absence de l’atelier pour disparaître avec l’engin. D’après L’OBS, repris par Senenews, il a conduit la moto jusqu’à Mbour où il la revend à 100 000 FCfa qu’il utilise pour passer des moments agréables.
Avec cet argent, M. K. qui est resté à Mbour, va se payer des prostituées. Le jeune mécanicien s’est donné du bon temps dans cette ville avant de retourner à Pout, les poches vides. Dès son arrivée, il sera interpellé par la gendarmerie puis placé sous mandat de dépôt à la prison de Thiès.
Il est ensuite jugé par le tribunal d’instance de la capitale du Rail. Devant la barre, le prévenu a tenté de nier les accusations avant de passer aux aveux. Il a reconnu avoir vendu la moto à 100 000 FCfa non pour se payer des prostituées, mais pour s’acheter des vêtements.
Par contre, la partie civile a fait savoir que M. K. a vendu sa moto et s’est servi de l’argent pour se payer des passes auprès de filles de joie. Jugeant les faits constants, le procureur de la République a requis l’application de la loi.
Le juge a déclaré le prévenu coupable de vol et l’a condamné à une peine d’emprisonnement de 2 ans dont un mois ferme.
Les faits se sont déroulés à Pout. Alors que son patron lui avait confié la garde de la moto d’un ami, le jeune M. K. a profité de son absence de l’atelier pour disparaître avec l’engin. D’après L’OBS, repris par Senenews, il a conduit la moto jusqu’à Mbour où il la revend à 100 000 FCfa qu’il utilise pour passer des moments agréables.
Avec cet argent, M. K. qui est resté à Mbour, va se payer des prostituées. Le jeune mécanicien s’est donné du bon temps dans cette ville avant de retourner à Pout, les poches vides. Dès son arrivée, il sera interpellé par la gendarmerie puis placé sous mandat de dépôt à la prison de Thiès.
Il est ensuite jugé par le tribunal d’instance de la capitale du Rail. Devant la barre, le prévenu a tenté de nier les accusations avant de passer aux aveux. Il a reconnu avoir vendu la moto à 100 000 FCfa non pour se payer des prostituées, mais pour s’acheter des vêtements.
Par contre, la partie civile a fait savoir que M. K. a vendu sa moto et s’est servi de l’argent pour se payer des passes auprès de filles de joie. Jugeant les faits constants, le procureur de la République a requis l’application de la loi.
Le juge a déclaré le prévenu coupable de vol et l’a condamné à une peine d’emprisonnement de 2 ans dont un mois ferme.