Les victimes, originaires du village de Hodio dans la commune d’Oréfondé, subissent les conséquences d’un climat de tension qui dure depuis près de 15 jours.
En effet, la présence massive de véhicules de la gendarmerie dans les garages, aux carrefours et dans divers endroits de la région crée un sentiment d’étouffement au sein de la population, déjà stressée par cette situation. Cette surveillance excessive est perçue comme une grave provocation.
Pire encore, les gendarmes n’hésitent pas à lancer des grenades lacrymogènes à l’intérieur des maisons, provoquant des évanouissements parmi les jeunes et les personnes âgées. Cette répression aveugle met en danger la population, qui ne demande qu’à vivre en paix.
Pourtant, ici, les habitants n’ont jamais eu de problèmes avec les forces de l’ordre. Ils vont même jusqu’à offrir le ndogou aux gendarmes présents dans les villages.
Les jeunes accidentés sont Amadou Sala, fils de Sala Yaya, et Abou Ousmane Ba, ainsi que Samba Sow, fils de Moussa Samba Sow et de Ndoungou.
Il est impératif que cet acharnement de la gendarmerie, sous l’autorité de Sonko, contre les Foutanké cesse immédiatement.
En effet, la présence massive de véhicules de la gendarmerie dans les garages, aux carrefours et dans divers endroits de la région crée un sentiment d’étouffement au sein de la population, déjà stressée par cette situation. Cette surveillance excessive est perçue comme une grave provocation.
Pire encore, les gendarmes n’hésitent pas à lancer des grenades lacrymogènes à l’intérieur des maisons, provoquant des évanouissements parmi les jeunes et les personnes âgées. Cette répression aveugle met en danger la population, qui ne demande qu’à vivre en paix.
Pourtant, ici, les habitants n’ont jamais eu de problèmes avec les forces de l’ordre. Ils vont même jusqu’à offrir le ndogou aux gendarmes présents dans les villages.
Les jeunes accidentés sont Amadou Sala, fils de Sala Yaya, et Abou Ousmane Ba, ainsi que Samba Sow, fils de Moussa Samba Sow et de Ndoungou.
Il est impératif que cet acharnement de la gendarmerie, sous l’autorité de Sonko, contre les Foutanké cesse immédiatement.