Le 9ème colloque de l’Association internationale des services du trésor (Aint) se tient depuis ce matin à Dakar. Ce colloque de l’association, qui a pour but de faire face aux défis de la mondialisation de la gestion des finances publiques, a vu la participation de 24 pays à travers le monde. En effet, c’est autour du thème : « Le processus de gestion de la dépense publique » que les débats vont tourner. Le ministre du Budget, Birima Mangara trouve que cette initiative vient à son heure, dans la mesure où « nos administrations, dans des pays qui cherchent à aller vers l’émergence, ont un rôle important à jouer dans l’efficacité mais surtout dans la gestion de la chaîne de dépense publique ». Le ministre estime qu’un ensemble de réformes est nécessaire, « des réformes qui portent sur les dépenses publiques en général mais également sur la modernisation des structures, pour une meilleure gestion de la dépense publique, pour plus d’efficacité dans les interventions en matière d’investissement public ».
Pour sa part, le directeur général de la Direction de la comptabilité publique et du trésor et par ailleurs président de l’Association internationale des services du trésor indique que, malgré la complexité de la surveillance sur la gestion des finances publiques, il vont s’engager résolument dans « les réformes à venir qui devront améliorer tout ce qui touche la dépense publique en terme de contrôle, réduction des délais et surtout information vers le public. C’est une réforme du Trésor, en vue et en perspective de l’efficience et de l’efficacité ». Daouda Sembène s'est également exprimé sur le budget du Sénégal de 2016 qui est estimé à 3 mille 22 milliards. « C’est autant de richesses nationales qu’il nous faut gérer, dans le cadre d’une bonne transparence, d’une bonne gestion. Recouvrer d’abord, faire entrer dans les caisses, et faire un bon emploi sous la surveillance aussi bien des acteurs économiques que du simple citoyen. Et c’est notre rôle premier de comptabiliser ces opérations là et de rendre compte à la nation », a-t-il dit.
Pour ce qui est de la place du Sénégal en ce qui concerne la modernisation des dépenses publiques, il soutiendra : « Nous vivons dans un espace sous régional et il y a une réforme qui concerne l’harmonisation des finances publiques pour que l’espace, de plus en plus, soit homogène et parle d’une même voix, agit dans les mêmes procédures et dans les mêmes règles. Et pour ces réformes entamées depuis 2009, le Sénégal a bien avancé : il s’agit d’une comptabilité patrimoniale, une gestion axée sur les résultats. On passe de la logique de moyen à celle de résultat ».
Pour sa part, le directeur général de la Direction de la comptabilité publique et du trésor et par ailleurs président de l’Association internationale des services du trésor indique que, malgré la complexité de la surveillance sur la gestion des finances publiques, il vont s’engager résolument dans « les réformes à venir qui devront améliorer tout ce qui touche la dépense publique en terme de contrôle, réduction des délais et surtout information vers le public. C’est une réforme du Trésor, en vue et en perspective de l’efficience et de l’efficacité ». Daouda Sembène s'est également exprimé sur le budget du Sénégal de 2016 qui est estimé à 3 mille 22 milliards. « C’est autant de richesses nationales qu’il nous faut gérer, dans le cadre d’une bonne transparence, d’une bonne gestion. Recouvrer d’abord, faire entrer dans les caisses, et faire un bon emploi sous la surveillance aussi bien des acteurs économiques que du simple citoyen. Et c’est notre rôle premier de comptabiliser ces opérations là et de rendre compte à la nation », a-t-il dit.
Pour ce qui est de la place du Sénégal en ce qui concerne la modernisation des dépenses publiques, il soutiendra : « Nous vivons dans un espace sous régional et il y a une réforme qui concerne l’harmonisation des finances publiques pour que l’espace, de plus en plus, soit homogène et parle d’une même voix, agit dans les mêmes procédures et dans les mêmes règles. Et pour ces réformes entamées depuis 2009, le Sénégal a bien avancé : il s’agit d’une comptabilité patrimoniale, une gestion axée sur les résultats. On passe de la logique de moyen à celle de résultat ».