Dans cet extrait de La Tribune, c’est pour expliquer que l’arrivée du nouveau Président au pouvoir, « sous le slogan de la rupture, n’a rien changée », écrit Cheikh Yérim Seckl. "Installé au pouvoir (…), le nouveau Président perpétue une tradition bien ancrée dans nos mœurs politiques : partager les deniers publics pour conforter son pouvoir. Chaque mois, chacun des principaux leaders de Benno Bokk Yakaar, la coalition qui l’a porté au pouvoir, reçoit 20 millions de FCfa tirés des fonds politiques de la Présidence. A l’exception notable d’Idrissa Seck qui a touché pendant un an sa part avant d’en être privé", écrit encore l'auteur.
Leral
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