Le procès de la tuerie de Boffa-Bayotte suit son cours au niveau de la Chambre criminelle de Ziguinchor.
Le journaliste René Capin Bassène est passé à la barre hier, jeudi, pour la deuxième fois. Il est accusé d’avoir planifié le carnage survenu le 6 février 2018 et qui a fait 14 morts.
L'accusé maintient qu’il n’est lié ni de près ni de loin à la tuerie. Selon Vipeoples , il a menacé les juges de mettre un terme à sa vie s’il est reconnu coupable.
«Au moment du drame, rembobine René Capin Bassène, j’étais au stade. J’ai toujours clamé mon innocence. Si je suis condamné, je vais me suicider.»
Le journaliste René Capin Bassène est passé à la barre hier, jeudi, pour la deuxième fois. Il est accusé d’avoir planifié le carnage survenu le 6 février 2018 et qui a fait 14 morts.
L'accusé maintient qu’il n’est lié ni de près ni de loin à la tuerie. Selon Vipeoples , il a menacé les juges de mettre un terme à sa vie s’il est reconnu coupable.
«Au moment du drame, rembobine René Capin Bassène, j’étais au stade. J’ai toujours clamé mon innocence. Si je suis condamné, je vais me suicider.»