
La communauté de Gbessia Cité de l’Air, en Guinée, est sous le choc après le suicide tragique de Mohamed Lamine Sow, un jeune élève de 19 ans, inscrit en classe de terminale Sciences mathématiques. Le drame s’est produit dans la nuit du dimanche 6 au lundi 7 avril 2025, aux environs de 2 heures du matin.
Selon les témoignages recueillis par "Guineematin.com", souligne "Senenews", le jeune homme s’est donné la mort par pendaison, après avoir soigneusement préparé son geste. Vêtu de blanc, il avait pris le soin de rédiger plusieurs lettres à l’endroit de ses proches : père, mère, tutrice et amis. Dans ces missives empreintes de douleur et de lucidité, il leur demandait pardon pour ses choix et exprimait son incapacité à répondre aux attentes familiales, en évoquant un « vice » dont il n’aurait pas pu se défaire.
Sa mère adoptive, Diaraye Sow, a raconté avec émotion les circonstances de la découverte macabre. Pensant que le jeune homme dormait, elle s’est finalement inquiétée après les aboiements persistants des chiens de la maison. C’est en ouvrant la porte que le drame est apparu sous ses yeux : Mohamed Lamine pendu dans la cour. En larmes, elle affirme que rien ne laissait présager un tel acte.
Alseny Soumah, le père adoptif du défunt, a confirmé que son fils avait soigneusement planifié son suicide depuis plusieurs jours. Les lettres, datées du 3 avril, témoignent d’une détresse intérieure profonde. Il y demande que son enterrement se fasse dans la discrétion, avec des prières, sans grands sacrifices, allant même jusqu’à recommander les sourates à réciter avant son inhumation.
Le corps du jeune homme a été acheminé à la morgue de l’hôpital Ignace Deen, pour les besoins de l’enquête. Une tragédie qui relance les interrogations sur le mal-être silencieux de certains jeunes et la nécessité d’un accompagnement psychologique plus renforcé dans les établissements scolaires et les foyers.
Selon les témoignages recueillis par "Guineematin.com", souligne "Senenews", le jeune homme s’est donné la mort par pendaison, après avoir soigneusement préparé son geste. Vêtu de blanc, il avait pris le soin de rédiger plusieurs lettres à l’endroit de ses proches : père, mère, tutrice et amis. Dans ces missives empreintes de douleur et de lucidité, il leur demandait pardon pour ses choix et exprimait son incapacité à répondre aux attentes familiales, en évoquant un « vice » dont il n’aurait pas pu se défaire.
Sa mère adoptive, Diaraye Sow, a raconté avec émotion les circonstances de la découverte macabre. Pensant que le jeune homme dormait, elle s’est finalement inquiétée après les aboiements persistants des chiens de la maison. C’est en ouvrant la porte que le drame est apparu sous ses yeux : Mohamed Lamine pendu dans la cour. En larmes, elle affirme que rien ne laissait présager un tel acte.
Alseny Soumah, le père adoptif du défunt, a confirmé que son fils avait soigneusement planifié son suicide depuis plusieurs jours. Les lettres, datées du 3 avril, témoignent d’une détresse intérieure profonde. Il y demande que son enterrement se fasse dans la discrétion, avec des prières, sans grands sacrifices, allant même jusqu’à recommander les sourates à réciter avant son inhumation.
Le corps du jeune homme a été acheminé à la morgue de l’hôpital Ignace Deen, pour les besoins de l’enquête. Une tragédie qui relance les interrogations sur le mal-être silencieux de certains jeunes et la nécessité d’un accompagnement psychologique plus renforcé dans les établissements scolaires et les foyers.