Urbi et orbi, Macky Sall incarne depuis plus de deux ans qu’il est au pouvoir, l’image d’un Président dans l’Action et surtout de manière ….vertueuse. Ce n'est pas l'optimisme de la volonté. Mais la volonté tout simplement.
Après douze très longues années chaotiques de pouvoir du vieux libéral Abdoulaye Wade, et qui ont plongé le Sénégal dans une situation de morosité tous azimuts, il était impératif pour le Président Macky Sall et son équipe, devant ce legs en « TOUT » catastrophique, de trouver des solutions pouvant permettre d'aller très vite dans le sens de redresser le Pays.
D’abord accordons –nous sur le fait qu’on ne peut pas faire bouger notre « SUNUGAL » si nous ne voulons pas nous séparer des mauvaises habitudes en matière de gouvernance.
Remettre un pays sur les bons rails est loin d’être une sinécure. Cela nécessite inéluctablement un changement radical des mentalités, c’est à cette tâche que le Président Macky Sall s’est attelé dès son arrivée au pouvoir, en disant qu’il veut que la transparence et l’éthique soient au cœur des politiques publiques.
Comme Dire, c’est Agir, il a érigé un ministère exclusivement en charge de la promotion de la bonne gouvernance. Cette décision novatrice, en ce qu’elle institutionnalise des postures nouvelles dans les politiques publiques, encourage la gestion participative, l’efficience, l’efficacité dans la gestion des affaires de la cité et indique clairement que les défis de bonne gouvernance sont devenus un axe-clé des politiques et des réformes en faveur du développement économique et social.
C’est aussi et surtout une mise en pratique d’un engagement contracté avec le peuple.
Dans la même veine, l’annonce faite par le Président Macky Sall de réduire son mandat de 7 à 5 ans, renouvelable une seule fois et surtout de bloquer sa révision, est une décision politique courageuse, qui a le mérite de fermer la porte aux thuriféraires et autres courtisans…
L’enjeu pour le chef de l’Etat, est de donner plus de crédit à la démocratie sénégalaise, la rendre plus vivante, plus ouverte et plus adaptée aux exigences de développement. Plus prosaïquement, c’est démontrer au peuple Sénégalais, qu’on peut être au pouvoir et rester soi- même, avoir la tête sur les épaules, le sens élevé de l’état et pour les institutions de la République.
Aussi l’obligation faite à toute personne investie d’un mandat public de déclarer son patrimoine rentre dans cette volonté de redressement du pays. En déclarant son patrimoine, Macky Sall est le premier Président du Sénégal élu qui ait fait cette obligation, pourtant inscrite dans notre constitution.
C’est une manière pour lui de rappeler que La règle générale pour tout ce qui a trait à l'argent et la politique, c'est la transparence. La mise en œuvre des conclusions des rapports d’audits, la décision de créer un office national anti-corruption et la réactivation de la Cour de répression de l’enrichissement illicite constituent un Tout cohérent pour rendre efficace la mesure.
Quid de la traque des biens mal acquis ? Un gargouillis judiciaire ? Non, même pas. Certes le sujet divise mais faire en sorte que les pilleurs des deniers publics payent et que l’argent détourné et planqué à l’étranger soit rapatrié au Sénégal est le seul résultat recherché par le Président Macky Sall et attendu du peuple. Les sénégalais veulent que les coupables de mauvaise gestion soient punis.
Pas un juriste qui n'aille de son hypothèse, économistes, politologues, sociologues, psychologues, glosant sur la traque des biens mal acquis. Pourtant, il faut bien se rendre à l’évidence et reconnaitre que cette lutte contre l’enrichissement illicite a amélioré sensiblement le rang du Sénégal dans l’indice de perception de la corruption, en jouant un rôle prépondérant dans le recul de la corruption dans notre pays. En atteste son classement en 2013, 77e sur 175 Pays, acquis grâce à la traque des biens mal acquis.
C’est dire donc quand un pays améliore son indice de perception de la corruption, il rassure en même temps les investisseurs et renforce par ricochet la réputation de sérieux qu’il véhicule.
Un autre élément d’analyse de la bonne gouvernance du Président Sall est l’indice Mo Ibrahim. Le Sénégal a fait un bond lui permettant de passer de la 16e place à la 10e sur 52 pays africains avec un score de 61,0 (sur 100)- plus élevé que la moyenne africaine (51,6). La remontée au classement devrait se poursuivre dans les années à venir pour sortir notre pays définitivement de la zone rouge.
Egalement, selon les auditeurs des Agences Standard & Poor’s et Moody’s, l’économie sénégalaise est la «plus attractive» de la sous-région ouest- africaine. Avec une notation BB avec perspective positive, le Sénégal maintient le rythme imposé par le Ghana et la Côte D’Ivoire.
Cette estimation positive de l’évolution des perspectives économiques et sociales du Sénégal, surtout au regard des projets lancés par le gouvernement dans le cadre du Plan Sénégal émergent (PSE), nous renforce dans notre sentiment que le Président Macky Sall est entrain de convaincre qu’il est l’homme de la situation et aucun observateur averti n’ignore qu’avec une note pareille, notre pays est plus que jamais sur la bonne voie.
Aujourd’hui, après plus de deux ans de magistère du pouvoir du Président Macky Sall et les bons résultats déjà obtenus grâce à un management vertueux, l’espérance doit être le sentiment le mieux partagé.
Même si d’aucuns jugent bas et erratique le bilan du Président Sall et tentent de mettre en avant les difficultés temporaires et marginales connues dans certains secteurs comme la santé, l’éducation, l’emploi des jeunes…, force est de reconnaitre que le Président Sall et son gouvernement, conscients qu’il reste beaucoup à faire, ont mis le turbo pour accélérer la cadence pour mieux répondre aux aspirations du peuple Sénégalais.
Par conséquent, baragouiner, gazouiller intensément uniquement pour des inepties afin de créer la confusion et l’obscurantisme dans l’esprit des Sénégalais n’est pas responsable et surtout contreproductif.
La gouvernance du Président Macky Sall est un bon modèle (un bon mot d’elle) car elle fixe le cap et le rythme, il appartient à tous les patriotes de ce pays de le soutenir.
Nul n'ayant de baguette magique, pas même le Président, rendez-vous en 2017. Inch Allah. Le peuple saura séparer la graine de l’ivraie.
leral
Après douze très longues années chaotiques de pouvoir du vieux libéral Abdoulaye Wade, et qui ont plongé le Sénégal dans une situation de morosité tous azimuts, il était impératif pour le Président Macky Sall et son équipe, devant ce legs en « TOUT » catastrophique, de trouver des solutions pouvant permettre d'aller très vite dans le sens de redresser le Pays.
D’abord accordons –nous sur le fait qu’on ne peut pas faire bouger notre « SUNUGAL » si nous ne voulons pas nous séparer des mauvaises habitudes en matière de gouvernance.
Remettre un pays sur les bons rails est loin d’être une sinécure. Cela nécessite inéluctablement un changement radical des mentalités, c’est à cette tâche que le Président Macky Sall s’est attelé dès son arrivée au pouvoir, en disant qu’il veut que la transparence et l’éthique soient au cœur des politiques publiques.
Comme Dire, c’est Agir, il a érigé un ministère exclusivement en charge de la promotion de la bonne gouvernance. Cette décision novatrice, en ce qu’elle institutionnalise des postures nouvelles dans les politiques publiques, encourage la gestion participative, l’efficience, l’efficacité dans la gestion des affaires de la cité et indique clairement que les défis de bonne gouvernance sont devenus un axe-clé des politiques et des réformes en faveur du développement économique et social.
C’est aussi et surtout une mise en pratique d’un engagement contracté avec le peuple.
Dans la même veine, l’annonce faite par le Président Macky Sall de réduire son mandat de 7 à 5 ans, renouvelable une seule fois et surtout de bloquer sa révision, est une décision politique courageuse, qui a le mérite de fermer la porte aux thuriféraires et autres courtisans…
L’enjeu pour le chef de l’Etat, est de donner plus de crédit à la démocratie sénégalaise, la rendre plus vivante, plus ouverte et plus adaptée aux exigences de développement. Plus prosaïquement, c’est démontrer au peuple Sénégalais, qu’on peut être au pouvoir et rester soi- même, avoir la tête sur les épaules, le sens élevé de l’état et pour les institutions de la République.
Aussi l’obligation faite à toute personne investie d’un mandat public de déclarer son patrimoine rentre dans cette volonté de redressement du pays. En déclarant son patrimoine, Macky Sall est le premier Président du Sénégal élu qui ait fait cette obligation, pourtant inscrite dans notre constitution.
C’est une manière pour lui de rappeler que La règle générale pour tout ce qui a trait à l'argent et la politique, c'est la transparence. La mise en œuvre des conclusions des rapports d’audits, la décision de créer un office national anti-corruption et la réactivation de la Cour de répression de l’enrichissement illicite constituent un Tout cohérent pour rendre efficace la mesure.
Quid de la traque des biens mal acquis ? Un gargouillis judiciaire ? Non, même pas. Certes le sujet divise mais faire en sorte que les pilleurs des deniers publics payent et que l’argent détourné et planqué à l’étranger soit rapatrié au Sénégal est le seul résultat recherché par le Président Macky Sall et attendu du peuple. Les sénégalais veulent que les coupables de mauvaise gestion soient punis.
Pas un juriste qui n'aille de son hypothèse, économistes, politologues, sociologues, psychologues, glosant sur la traque des biens mal acquis. Pourtant, il faut bien se rendre à l’évidence et reconnaitre que cette lutte contre l’enrichissement illicite a amélioré sensiblement le rang du Sénégal dans l’indice de perception de la corruption, en jouant un rôle prépondérant dans le recul de la corruption dans notre pays. En atteste son classement en 2013, 77e sur 175 Pays, acquis grâce à la traque des biens mal acquis.
C’est dire donc quand un pays améliore son indice de perception de la corruption, il rassure en même temps les investisseurs et renforce par ricochet la réputation de sérieux qu’il véhicule.
Un autre élément d’analyse de la bonne gouvernance du Président Sall est l’indice Mo Ibrahim. Le Sénégal a fait un bond lui permettant de passer de la 16e place à la 10e sur 52 pays africains avec un score de 61,0 (sur 100)- plus élevé que la moyenne africaine (51,6). La remontée au classement devrait se poursuivre dans les années à venir pour sortir notre pays définitivement de la zone rouge.
Egalement, selon les auditeurs des Agences Standard & Poor’s et Moody’s, l’économie sénégalaise est la «plus attractive» de la sous-région ouest- africaine. Avec une notation BB avec perspective positive, le Sénégal maintient le rythme imposé par le Ghana et la Côte D’Ivoire.
Cette estimation positive de l’évolution des perspectives économiques et sociales du Sénégal, surtout au regard des projets lancés par le gouvernement dans le cadre du Plan Sénégal émergent (PSE), nous renforce dans notre sentiment que le Président Macky Sall est entrain de convaincre qu’il est l’homme de la situation et aucun observateur averti n’ignore qu’avec une note pareille, notre pays est plus que jamais sur la bonne voie.
Aujourd’hui, après plus de deux ans de magistère du pouvoir du Président Macky Sall et les bons résultats déjà obtenus grâce à un management vertueux, l’espérance doit être le sentiment le mieux partagé.
Même si d’aucuns jugent bas et erratique le bilan du Président Sall et tentent de mettre en avant les difficultés temporaires et marginales connues dans certains secteurs comme la santé, l’éducation, l’emploi des jeunes…, force est de reconnaitre que le Président Sall et son gouvernement, conscients qu’il reste beaucoup à faire, ont mis le turbo pour accélérer la cadence pour mieux répondre aux aspirations du peuple Sénégalais.
Par conséquent, baragouiner, gazouiller intensément uniquement pour des inepties afin de créer la confusion et l’obscurantisme dans l’esprit des Sénégalais n’est pas responsable et surtout contreproductif.
La gouvernance du Président Macky Sall est un bon modèle (un bon mot d’elle) car elle fixe le cap et le rythme, il appartient à tous les patriotes de ce pays de le soutenir.
Nul n'ayant de baguette magique, pas même le Président, rendez-vous en 2017. Inch Allah. Le peuple saura séparer la graine de l’ivraie.
leral