La marche des députés de la coalition Yewwi Askan Wi (Yaw) pour aller ''libérer" le président Ousmane Sonko à la cité Keur Gorgui, a été violemment réprimée par les forces de l'ordre. Et le président du groupe parlementaire de Yaw, Birame Soulèye Diop, a été arrêté. Ce qui atteste de la recrudescence des arrestations musclées et des tirs de gaz lacrymogènes sur des symboles du pays, comme les avocats, les journalistes et les parlementaires.
Le rond-point de Liberté 6 était noir de forces de l'ordre, qui avaient pris d'assaut et encerclé ce carrefour très emprunté de la capitale.Ainsi, la marche des parlementaires de la coalition Yewwi Askan Wi a été stoppée par les gendarmes, qui ont procédé à quelques interpellations, comme à l'accoutumée. En effet, le président du groupe parlementaire de Yaw, Biram Soulèye Diop, a été mis aux arrêts.
Il urge de souligner que les arrestations musclées contre des représentants du peuple, sont désormais devenues monnaie courante dans le pays. L'image des avocats d’Ousmane Sonko sonnés et en larmes à cause des grenades lacrymogènes, a fait le tour des réseaux sociaux. Une situation dénoncée par plusieurs organisations de défense des droits de l'Homme. Ces auxiliaires de la justice qui dénonçaient la mise en ''résidence surveillée'' du leader du Pastef qui attend le verdict de son procès l'opposant à Adji Sarr, ont été éconduits avec violence par les forces de l'ordre.
Dans ce contexte politique tendu, c'est aussi la croix et la bannière pour les journalistes, de faire leur travail correctement. Chassés, malmenés, gazés et arrêtés, les professionnels des médias sont au bord de la persécution depuis plusieurs mois. Malheureusement, les réactions des responsables du Synpics (syndicat de la presse) sont lentes, timides voire inexistantes.
Le même reproche peut être fait au Bâtonnier, qui s'est tu face à la brutalité exercée sur les avocats du président du Pastef. Jusqu'ici, aucun communiqué de sa part pour déplorer ce qui est arrivé aux conseils d’Ousmane Sonko gazés dans l'exercice de leur fonction, n'est noté. En outre, plusieurs acteurs politiques comme Dr. Abdourahmane Diouf, Déthié Fall et Maïmouna Bousso ont subi le même sort ces derniers temps, en tentant de voler au secours d'Ousmane Sonko.
Le rond-point de Liberté 6 était noir de forces de l'ordre, qui avaient pris d'assaut et encerclé ce carrefour très emprunté de la capitale.Ainsi, la marche des parlementaires de la coalition Yewwi Askan Wi a été stoppée par les gendarmes, qui ont procédé à quelques interpellations, comme à l'accoutumée. En effet, le président du groupe parlementaire de Yaw, Biram Soulèye Diop, a été mis aux arrêts.
Il urge de souligner que les arrestations musclées contre des représentants du peuple, sont désormais devenues monnaie courante dans le pays. L'image des avocats d’Ousmane Sonko sonnés et en larmes à cause des grenades lacrymogènes, a fait le tour des réseaux sociaux. Une situation dénoncée par plusieurs organisations de défense des droits de l'Homme. Ces auxiliaires de la justice qui dénonçaient la mise en ''résidence surveillée'' du leader du Pastef qui attend le verdict de son procès l'opposant à Adji Sarr, ont été éconduits avec violence par les forces de l'ordre.
Dans ce contexte politique tendu, c'est aussi la croix et la bannière pour les journalistes, de faire leur travail correctement. Chassés, malmenés, gazés et arrêtés, les professionnels des médias sont au bord de la persécution depuis plusieurs mois. Malheureusement, les réactions des responsables du Synpics (syndicat de la presse) sont lentes, timides voire inexistantes.
Le même reproche peut être fait au Bâtonnier, qui s'est tu face à la brutalité exercée sur les avocats du président du Pastef. Jusqu'ici, aucun communiqué de sa part pour déplorer ce qui est arrivé aux conseils d’Ousmane Sonko gazés dans l'exercice de leur fonction, n'est noté. En outre, plusieurs acteurs politiques comme Dr. Abdourahmane Diouf, Déthié Fall et Maïmouna Bousso ont subi le même sort ces derniers temps, en tentant de voler au secours d'Ousmane Sonko.