Révélé par le Premier ministre Ousmane Sonko, le scandale présumé lié à la dette cachée sous l’ancien régime entre dans une phase décisive. Une réunion technique, prévue ce mercredi, réunira le Procureur financier, des magistrats ainsi que des Officiers de police judiciaire (OPJ), afin d’harmoniser la conduite des enquêtes et de fixer les grandes lignes d’une procédure judiciaire qui s’annonce tentaculaire.
L’objectif de cette réunion est clair : élucider la nébuleuse autour de la gestion des finances publiques entre 2019 et 2024 et situer les responsabilités pénales, qu’elles soient individuelles ou collectives. Selon les informations publiées par "L’Observateur", un groupe restreint de magistrats désignés et d’OPJ spécialisés se retrouvera autour du Procureur financier, pour accorder leurs violons, avant le lancement effectif des investigations. Annoncé avec force par l’actuel chef du gouvernement, ce scandale est désormais dans le viseur de la justice, comme le confirme "L’Observateur", qui précise que la Division des investigations criminelles (DIC) a officiellement saisi le parquet financier.
D’après les sources concordantes relayées par "L’Observateur", reprises par "Senenews", la désignation de la DIC ne constitue que la première étape d’une procédure complexe. La réunion technique prévue demain, jettera les bases d’une collaboration structurée entre le parquet financier, les magistrats et les enquêteurs chevronnés. Le Procureur financier dirigera personnellement les échanges, afin de définir les axes d’investigation prioritaires et d’uniformiser les méthodes de travail sur ces dossiers sensibles.
Toujours selon "L’Observateur", cette rencontre marquera le véritable coup d’envoi des enquêtes judiciaires. Dès vendredi prochain, ou au plus tard au début de la semaine suivante, une première salve de dossiers sera ouverte. Huit affaires jugées particulièrement incriminantes sont déjà prêtes, ciblant de hauts fonctionnaires de l’État. Ces derniers seront convoqués et auditionnés sur la base des conclusions explosives du rapport de la Cour des Comptes couvrant la période 2019-2024. Le rouleau compresseur judiciaire est donc en marche, dans un climat où l’exigence de transparence et de reddition des comptes s’impose comme une priorité politique
L’objectif de cette réunion est clair : élucider la nébuleuse autour de la gestion des finances publiques entre 2019 et 2024 et situer les responsabilités pénales, qu’elles soient individuelles ou collectives. Selon les informations publiées par "L’Observateur", un groupe restreint de magistrats désignés et d’OPJ spécialisés se retrouvera autour du Procureur financier, pour accorder leurs violons, avant le lancement effectif des investigations. Annoncé avec force par l’actuel chef du gouvernement, ce scandale est désormais dans le viseur de la justice, comme le confirme "L’Observateur", qui précise que la Division des investigations criminelles (DIC) a officiellement saisi le parquet financier.
D’après les sources concordantes relayées par "L’Observateur", reprises par "Senenews", la désignation de la DIC ne constitue que la première étape d’une procédure complexe. La réunion technique prévue demain, jettera les bases d’une collaboration structurée entre le parquet financier, les magistrats et les enquêteurs chevronnés. Le Procureur financier dirigera personnellement les échanges, afin de définir les axes d’investigation prioritaires et d’uniformiser les méthodes de travail sur ces dossiers sensibles.
Toujours selon "L’Observateur", cette rencontre marquera le véritable coup d’envoi des enquêtes judiciaires. Dès vendredi prochain, ou au plus tard au début de la semaine suivante, une première salve de dossiers sera ouverte. Huit affaires jugées particulièrement incriminantes sont déjà prêtes, ciblant de hauts fonctionnaires de l’État. Ces derniers seront convoqués et auditionnés sur la base des conclusions explosives du rapport de la Cour des Comptes couvrant la période 2019-2024. Le rouleau compresseur judiciaire est donc en marche, dans un climat où l’exigence de transparence et de reddition des comptes s’impose comme une priorité politique