Le combat pour l'annulation de l'ancien extrait de naissance :
Depuis le début de l'année scolaire, Makhfouss s'est retrouvé confronté à un obstacle majeur : l'annulation d'un ancien extrait de naissance. Pour obtenir ce document, il a dû se rendre régulièrement au tribunal, se levant aux aurores chaque jour et faisant la queue parfois sans succès. Ce processus a non seulement pris du temps, mais il a également entraîné une absence prolongée en cours, mettant ainsi en péril sa réussite scolaire.
L'espoir et la déception :
Après avoir obtenu enfin l'annulation tant attendue en mars, Makhfouss a déposé son dossier, pensant que tout était enfin réglé. Cependant, à la sortie des convocations par message, il a été le seul à ne rien recevoir de la part de l'UCAD (Université Cheikh Anta Diop). Déçu et découragé, il a cherché des réponses quant à l'absence de sa convocation. On lui a alors expliqué que les convocations numérisées n'étaient pas obligatoires et que les vraies convocations seraient remises au directeur de son établissement qui les distribuerait aux élèves.
Le rejet du dossier et l'injustice ressentie :
À seulement une semaine des épreuves de Brevet d'Éducation Physique, Makhfouss a réalisé qu'il n'avait toujours pas reçu de convocation. Inquiet, il s'est rendu au bureau du directeur pour obtenir des explications. C'est là qu'il a appris que son dossier avait été rejeté, le directeur de l'Office du Bac lui reprochant d'être en retard dans le dépôt de ses papiers. Une immense injustice, considérant les efforts fournis par Makhfouss pour obtenir tous les documents nécessaires.
La nécessité de sauver l'élève :
La situation de Makhfouss est un exemple flagrant des difficultés administratives auxquelles certains élèves peuvent être confrontés. Il est essentiel de sauver cet élève en lui offrant une chance équitable de passer ses examens. Les autorités compétentes, notamment l'UCAD et l'Office du Bac, doivent prendre en compte les circonstances particulières qui ont retardé le dépôt des documents de Makhfouss et réévaluer sa situation. Il ne devrait pas être pénalisé pour des erreurs administratives indépendantes de sa volonté
Depuis le début de l'année scolaire, Makhfouss s'est retrouvé confronté à un obstacle majeur : l'annulation d'un ancien extrait de naissance. Pour obtenir ce document, il a dû se rendre régulièrement au tribunal, se levant aux aurores chaque jour et faisant la queue parfois sans succès. Ce processus a non seulement pris du temps, mais il a également entraîné une absence prolongée en cours, mettant ainsi en péril sa réussite scolaire.
L'espoir et la déception :
Après avoir obtenu enfin l'annulation tant attendue en mars, Makhfouss a déposé son dossier, pensant que tout était enfin réglé. Cependant, à la sortie des convocations par message, il a été le seul à ne rien recevoir de la part de l'UCAD (Université Cheikh Anta Diop). Déçu et découragé, il a cherché des réponses quant à l'absence de sa convocation. On lui a alors expliqué que les convocations numérisées n'étaient pas obligatoires et que les vraies convocations seraient remises au directeur de son établissement qui les distribuerait aux élèves.
Le rejet du dossier et l'injustice ressentie :
À seulement une semaine des épreuves de Brevet d'Éducation Physique, Makhfouss a réalisé qu'il n'avait toujours pas reçu de convocation. Inquiet, il s'est rendu au bureau du directeur pour obtenir des explications. C'est là qu'il a appris que son dossier avait été rejeté, le directeur de l'Office du Bac lui reprochant d'être en retard dans le dépôt de ses papiers. Une immense injustice, considérant les efforts fournis par Makhfouss pour obtenir tous les documents nécessaires.
La nécessité de sauver l'élève :
La situation de Makhfouss est un exemple flagrant des difficultés administratives auxquelles certains élèves peuvent être confrontés. Il est essentiel de sauver cet élève en lui offrant une chance équitable de passer ses examens. Les autorités compétentes, notamment l'UCAD et l'Office du Bac, doivent prendre en compte les circonstances particulières qui ont retardé le dépôt des documents de Makhfouss et réévaluer sa situation. Il ne devrait pas être pénalisé pour des erreurs administratives indépendantes de sa volonté