Dans le dispositif du jugement en référé de Mansour Faye, il était exigé du ministre de l’Intérieur deux choses :
Soit lui donner les motifs de l’interdiction, soit le laissez partir.
Maintenant que la justice s’est prononcée, j’espère que le ministre de l’Intérieur a donné les motifs de l’interdiction à Mansour Faye (ce n’est pas la mer à boire, quand même). Le cas échéant, ses cris de goret étranglé sont du cinéma pour rameuter son monde.
S’il n’a pas reçu ses motifs, (et je déteste le dire), on a tort.
Même si l’État a contesté la décision, un référé est en général pris en urgence pour prévenir un dommage irréparable, donc le recours ne peut suspendre une ordonnance judiciaire prise en conséquence.
Une ordonnance s’exécute tant qu’elle n’est pas annulée ou suspendue par une juridiction supérieure.
Donc, si Mansour Faye n’a pas reçu ses motifs d’interdiction de sortie, on doit le laisser partir.
Soit lui donner les motifs de l’interdiction, soit le laissez partir.
Maintenant que la justice s’est prononcée, j’espère que le ministre de l’Intérieur a donné les motifs de l’interdiction à Mansour Faye (ce n’est pas la mer à boire, quand même). Le cas échéant, ses cris de goret étranglé sont du cinéma pour rameuter son monde.
S’il n’a pas reçu ses motifs, (et je déteste le dire), on a tort.
Même si l’État a contesté la décision, un référé est en général pris en urgence pour prévenir un dommage irréparable, donc le recours ne peut suspendre une ordonnance judiciaire prise en conséquence.
Une ordonnance s’exécute tant qu’elle n’est pas annulée ou suspendue par une juridiction supérieure.
Donc, si Mansour Faye n’a pas reçu ses motifs d’interdiction de sortie, on doit le laisser partir.