Le gouvernement a une semaine pour préparer la proposition qui va acter des changements en profondeur de la Constitution du Code électoral. Il s’agira des articles permettant à Khalifa Sall et Karim Wade de participer à la présidentielle de 2024, mais aussi modifiant le parrainage.
Fin du dialogue Taxawu-Yewwi
Il faut dire que, pour la première fois, le groupe parlementaire sera divisé sur une question. Puisque les élus de Taxawu vont voter ce projet de loi modifiant le code électoral. Contrairement à leurs autres alliés, de Pastef, du Pur et d’autres.
En effet, logique pour logique, Yewwi sauf Taxawu a boycotté le dialogue et ne peut, par conséquent et logiquement, voter un tel texte. Surtout qui prend en compte plus les intérêts de Khalifa Sall et Karim Wade que ceux de Ousmane Sonko.
Le groupe dirigé par Birame Souleye Diop et ses 53 sièges sera donc amputé d’au moins 13 députés favorables à Khalifa Sall. Et il n’en restera que les élus de Pastef (24), du Pur (11) et des autres (4).
C’est donc une autre grosse divergence entre Taxawu et Yewwi qui risque de sceller la fin du compagnonnage. Qui était déjà proche après le choix de Khalifa Sall de participer au dialogue et les menaces de la coalition d’en tirer les conséquences.
Avec Bes Bi
Fin du dialogue Taxawu-Yewwi
Il faut dire que, pour la première fois, le groupe parlementaire sera divisé sur une question. Puisque les élus de Taxawu vont voter ce projet de loi modifiant le code électoral. Contrairement à leurs autres alliés, de Pastef, du Pur et d’autres.
En effet, logique pour logique, Yewwi sauf Taxawu a boycotté le dialogue et ne peut, par conséquent et logiquement, voter un tel texte. Surtout qui prend en compte plus les intérêts de Khalifa Sall et Karim Wade que ceux de Ousmane Sonko.
Le groupe dirigé par Birame Souleye Diop et ses 53 sièges sera donc amputé d’au moins 13 députés favorables à Khalifa Sall. Et il n’en restera que les élus de Pastef (24), du Pur (11) et des autres (4).
C’est donc une autre grosse divergence entre Taxawu et Yewwi qui risque de sceller la fin du compagnonnage. Qui était déjà proche après le choix de Khalifa Sall de participer au dialogue et les menaces de la coalition d’en tirer les conséquences.
Avec Bes Bi