"Ce n'est pas un cimetière de navires ou un lieu de stationnement pendant plus d'un an d'un navire", s'écrie le ministre face aux explications du Directeur général de l'Agence nationale des affaires maritimes (Anam), Yérim Thioub. Le Dg de l'Anam a tenté de rassurer le ministre sur un remorquage "sans délai" de ces navires mais en vain. "On ne peut pas laisser comme ça des navires sur notre plan d'eau. Ça, il en est hors de question... Conformément à la loi, Je pense que l'Autorité nationale de sûreté portuaire, qui est l'Anam, doit prendre ses responsabilités", tonne Oumar Guèye pas du tout convaincu par les explications d'un certain Commandant maritime qui dit ne pas défendre l'Anam.
D'autres responsables ont également expliqué qu'il y a tout une procédure (justice, marchés...) pour dégager ces navires d'armateurs du plan d'eau, pendant que d'autres ont rejeté la faute sur des sociétés basées au Port. Ce qui n'a pas du tout estompé l'ire du ministre. "Regardez comment le plan d'eau est sale ! Complètement sale, pollué avec de l'huile... Quand même ! Nous le constatons nous même, nous tous ! Ça on peut pas se le permettre pour un port comme le Port de Dakar", fulmine Oumar Guèye, qui promet de "tirer les leçons" de ces anomalies, s'avançant vers une voiture sur le point d'embarquer des caisses de poissons.
Là , voyant des poissons à terre, il s'offusque : "Mais, qu'est-ce que c'est que ça ?" demandant au passage "s'il y a une inspection" de ces denrées. On lui explique que ces poissons sont des "déchets", ce qu'il a catégoriquement réfuté. Sur ces entrefaites, un inspecteur arrive et interroge avec fermeté : "Pourquoi ils débarquent sans que vous soyez là où un de vos agents soit là ?". Le monsieur d'expliquer que ces gens, qui embarquent les poissons, n'ont pas respectés les règles établis (il n'y a pas eu d'inspection de ces poissons). Leurs produits vont être saisis, tranche l'inspecteur.
Continuant toujours sa visite, le ministre tombe sur une eau noirâtre, pleine de déchets qu'on lui explique provenir de "la baie de Hann et envoyés par la pleine mer". Ce qui soulève à nouveau son courroux. "Mais attendez ! Franchement, ne me parlez pas d'assureurs. Ça, assureurs ou pas, vous vous devez d'enlever ça, nettoyez vos quais... Ça, sa place, c'est pas ici au le port. Ce n'est pas joli ça. Ça ne présente pas bien... Regardez tous ces déchets qui sont à l'intérieur... et on me parle d'assurance, c'est pas normal!", sermonne Oumar Guèye.
D'autres responsables ont également expliqué qu'il y a tout une procédure (justice, marchés...) pour dégager ces navires d'armateurs du plan d'eau, pendant que d'autres ont rejeté la faute sur des sociétés basées au Port. Ce qui n'a pas du tout estompé l'ire du ministre. "Regardez comment le plan d'eau est sale ! Complètement sale, pollué avec de l'huile... Quand même ! Nous le constatons nous même, nous tous ! Ça on peut pas se le permettre pour un port comme le Port de Dakar", fulmine Oumar Guèye, qui promet de "tirer les leçons" de ces anomalies, s'avançant vers une voiture sur le point d'embarquer des caisses de poissons.
Là , voyant des poissons à terre, il s'offusque : "Mais, qu'est-ce que c'est que ça ?" demandant au passage "s'il y a une inspection" de ces denrées. On lui explique que ces poissons sont des "déchets", ce qu'il a catégoriquement réfuté. Sur ces entrefaites, un inspecteur arrive et interroge avec fermeté : "Pourquoi ils débarquent sans que vous soyez là où un de vos agents soit là ?". Le monsieur d'expliquer que ces gens, qui embarquent les poissons, n'ont pas respectés les règles établis (il n'y a pas eu d'inspection de ces poissons). Leurs produits vont être saisis, tranche l'inspecteur.
Continuant toujours sa visite, le ministre tombe sur une eau noirâtre, pleine de déchets qu'on lui explique provenir de "la baie de Hann et envoyés par la pleine mer". Ce qui soulève à nouveau son courroux. "Mais attendez ! Franchement, ne me parlez pas d'assureurs. Ça, assureurs ou pas, vous vous devez d'enlever ça, nettoyez vos quais... Ça, sa place, c'est pas ici au le port. Ce n'est pas joli ça. Ça ne présente pas bien... Regardez tous ces déchets qui sont à l'intérieur... et on me parle d'assurance, c'est pas normal!", sermonne Oumar Guèye.