La transformation des produits locaux a connu des avancées significatives dans le Fouladou, grâce à l’accompagnement de l’Etat et ses partenaires. Mais, le seul hic, c’est qu’aujourd’hui, les actrices de développement peinent à conserver les fruits et légumes et à accroitre leurs rendements, faute d'unités de transformation.
« Nous avons besoin des unités de transformation de produits locaux pour accroître nos productions, conserver les fruits et légumes, mais aussi, nous avons besoin des chambres froides. C’est pourquoi, nous produits locaux, notamment les mangues, les oranges, les fruits et les légumes, pourrissent chaque jour », se désole la présidente régionale des femmes transformatrices des produits locaux. Adja Fatou Ndiaye d’ajouter qu’il y a aussi « le problème de l’emballage. Nous sommes obligées de parcourir des milliers de kilomètres pour rallier Dakar, afin d’obtenir des emballages. Ce qui retarde nos commandes et nous empêche d’avoir de la clientèle ».
Il y aussi un autre créneau que ces femmes pourraient investir pour fructifier leur business. Il s’agit du commerce en ligne, qui va les aider à rendre leurs produits plus compétitifs. A ce propos, l’adjointe au gouverneur chargée du développement, leur a recommandé d’apprendre les nouvelles technologies.
« Nous sommes dans l’ère du numérique, l’ère de la digitalisation, c’est le commerce à travers les nouvelles technologies de la communication. Donc, il faut que les femmes transformatrices des produits locaux, puissent apprendre et manier l’outil informatique, afin d’être compétitives au niveau international », explique Marième Pouye Hanne.
En attendant, pour booster ce secteur porteur d’opportunités, les femmes transformatrices de Kolda peuvent compter sur l’appui du projet Femmes Agriculture et Résilience, selon la présidente dudit projet, Dado Baldé.
« Nous avons actuellement financé sept (7) unités de femmes transformatrices de produits locaux, dans les régions de Tambacounda, de Kolda et de Sédhiou, pour un montant à peu près de 400 millions de francs Cfa. Et nous réitérons l’engagement à accompagner les femmes du Fouladou qui sont dans le secteur de la transformation des produits locaux, en matériels et en financement, à travers notre projet Femmes et agriculture et résilience », affirme-t-elle.
La mécanisation de ce secteur permettra aux femmes transformatrices du Fouladou, d’améliorer leurs conditions de travail et d’existence.
Enquêteplus.com
« Nous avons besoin des unités de transformation de produits locaux pour accroître nos productions, conserver les fruits et légumes, mais aussi, nous avons besoin des chambres froides. C’est pourquoi, nous produits locaux, notamment les mangues, les oranges, les fruits et les légumes, pourrissent chaque jour », se désole la présidente régionale des femmes transformatrices des produits locaux. Adja Fatou Ndiaye d’ajouter qu’il y a aussi « le problème de l’emballage. Nous sommes obligées de parcourir des milliers de kilomètres pour rallier Dakar, afin d’obtenir des emballages. Ce qui retarde nos commandes et nous empêche d’avoir de la clientèle ».
Il y aussi un autre créneau que ces femmes pourraient investir pour fructifier leur business. Il s’agit du commerce en ligne, qui va les aider à rendre leurs produits plus compétitifs. A ce propos, l’adjointe au gouverneur chargée du développement, leur a recommandé d’apprendre les nouvelles technologies.
« Nous sommes dans l’ère du numérique, l’ère de la digitalisation, c’est le commerce à travers les nouvelles technologies de la communication. Donc, il faut que les femmes transformatrices des produits locaux, puissent apprendre et manier l’outil informatique, afin d’être compétitives au niveau international », explique Marième Pouye Hanne.
En attendant, pour booster ce secteur porteur d’opportunités, les femmes transformatrices de Kolda peuvent compter sur l’appui du projet Femmes Agriculture et Résilience, selon la présidente dudit projet, Dado Baldé.
« Nous avons actuellement financé sept (7) unités de femmes transformatrices de produits locaux, dans les régions de Tambacounda, de Kolda et de Sédhiou, pour un montant à peu près de 400 millions de francs Cfa. Et nous réitérons l’engagement à accompagner les femmes du Fouladou qui sont dans le secteur de la transformation des produits locaux, en matériels et en financement, à travers notre projet Femmes et agriculture et résilience », affirme-t-elle.
La mécanisation de ce secteur permettra aux femmes transformatrices du Fouladou, d’améliorer leurs conditions de travail et d’existence.
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