La coordination des étudiants de l’université Gaston Berger alerte contre le manque d’eau qui perdure dans l’espace universitaire. En sit-in ce lundi matin, les pensionnaires dénoncent
« Quand je pense qu’on n’est pas sans savoir qu’actuellement ,surtout au niveau de la région de Saint-Louis, en ce qui nous concerne, il y a un manque criard d’eau. Depuis ces derniers temps, les représentants des étudiants étaient dans la perspective de trouver des solutions avec les autorités, pour voir comment faire pour pallier cette difficulté qui touche plus d’un ».
« Mais force est de constater que les autorités on eu un silence notoire par rapport à la situation. C’est un autre problème au niveau de l’université Gaston Berger. Ça fait même deux jours que les robinets d’eau potable sont secs. Les étudiants sont même obligés de boire l’eau du fleuve, tout en étant insouciants par rapport à la nature de cette eau. Et même, il y a des malades qui sont actuellement dans cette université. Chose que nous ne pouvons pas tolérer et que la commission sociale ne pouvait pas considérer en restant silencieuse », dénonce Abdou Guèye, secrétaire général de la commission sociale.
Et d’ajouter « C’est en ce sens qu’on a décidé de faire un sit-in de manière pacifique et tenir dans le même temps, un point de presse pour dénoncer cette situation. Ce manque d’eau a causé des dégâts déjà , dans la mesure où nous sommes dans une période où la grippe est en train de toucher beaucoup de personnes au niveau du campus et aussi, un autre problème qui s’ajoute à cela, les étudiants sont obligés d’utiliser l’eau du fleuve pour pouvoir subvenir à leurs besoins ».
Toutefois, les étudiants entendent passer à la vitesse supérieure si rien n’est fait. « En attendant, on avait décidé de faire donc un sit-in pour voir quelle est la réaction de l’autorité par rapport à cela. C’est pour cela qu’on a choisi de ne pas user de la violence, pour pouvoir montrer à l’opinion nationale et internationael, qu’on pouvait revendiquer tout en étant donc des personnes responsables. Donc, dans les jours à venir, si la situation ne se décante pas, nous allons voir comment régler cette situation », a averti M. Guèye.
suquotidien.sn
« Quand je pense qu’on n’est pas sans savoir qu’actuellement ,surtout au niveau de la région de Saint-Louis, en ce qui nous concerne, il y a un manque criard d’eau. Depuis ces derniers temps, les représentants des étudiants étaient dans la perspective de trouver des solutions avec les autorités, pour voir comment faire pour pallier cette difficulté qui touche plus d’un ».
« Mais force est de constater que les autorités on eu un silence notoire par rapport à la situation. C’est un autre problème au niveau de l’université Gaston Berger. Ça fait même deux jours que les robinets d’eau potable sont secs. Les étudiants sont même obligés de boire l’eau du fleuve, tout en étant insouciants par rapport à la nature de cette eau. Et même, il y a des malades qui sont actuellement dans cette université. Chose que nous ne pouvons pas tolérer et que la commission sociale ne pouvait pas considérer en restant silencieuse », dénonce Abdou Guèye, secrétaire général de la commission sociale.
Et d’ajouter « C’est en ce sens qu’on a décidé de faire un sit-in de manière pacifique et tenir dans le même temps, un point de presse pour dénoncer cette situation. Ce manque d’eau a causé des dégâts déjà , dans la mesure où nous sommes dans une période où la grippe est en train de toucher beaucoup de personnes au niveau du campus et aussi, un autre problème qui s’ajoute à cela, les étudiants sont obligés d’utiliser l’eau du fleuve pour pouvoir subvenir à leurs besoins ».
Toutefois, les étudiants entendent passer à la vitesse supérieure si rien n’est fait. « En attendant, on avait décidé de faire donc un sit-in pour voir quelle est la réaction de l’autorité par rapport à cela. C’est pour cela qu’on a choisi de ne pas user de la violence, pour pouvoir montrer à l’opinion nationale et internationael, qu’on pouvait revendiquer tout en étant donc des personnes responsables. Donc, dans les jours à venir, si la situation ne se décante pas, nous allons voir comment régler cette situation », a averti M. Guèye.
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