A travers cette initiative de plantation d’espèces fruitières et forestières, ils veulent contribuer à la lutte contre l’insécurité alimentaire, mais aussi des changements climatiques dans le tiers sud du pays. En effet, explique le Président directeur général du projet, «le monde est de plus en plus secoué par les effets du changement climatique. La forêt perd de son lustre du fait du déboisement, l’insécurité alimentaire devient préoccupante. C’est fort de tous ces constats que le projet est mis en œuvre pour apporter une réponse adéquate au phénomène».
Déjà , informe Tidiane Diallo, 2 millions de plantes sont en train d’être préparées dans les pépinières. Avec une grande diversité d’espèces. Allant des espèces fruitières jusqu’à celles forestières.
«Nous voulons qu’à terme, chaque ménage dispose d’un arbre qu’il se chargera de planter, d’entretenir et de surveiller.» Outre ces aspects, le projet contribue de façon considérable dans la politique d’emploi des jeunes, d’après M. Diallo. A preuve, souligne-t-il, «nous avons à ce jour, près d’une trentaine d’emplois fixes et plus de 50 emplois permanents. Compte non tenu des emplois temporaires».
Ainsi a-t-il invité le président du Conseil départemental de Tamba à porter le plaidoyer auprès des autorités centrales pour que le projet puisse s’étendre à d’autres départements.
Dans la région, informe-t-il, seules 3 communes sont touchées, notamment Missirah, Netteboulou et Dialacoto. Alors que les potentialités sont là , estime Tidiane Diallo.
Fatoumata Sy Sao, responsable de la mission locale de l’Emploi et de l’entreprenariat, dira être très satisfaite de l’initiative du projet. C’est une excellente chose, surtout en ce qu’il permet de créer des emplois pour les jeunes et les femmes. Le président du Conseil départemental lui emboitera le pas.
«Votre initiative est à encourager et surtout à amplifier. Outre les 3 localités d’intervention, il faut songer à l’étendre aux autres collectivités territoriales», soutient Mamadou Kassé, qui promet de tout mettre en œuvre pour son élargissement et surtout sa pérennisation. Car, considère M. Kassé, c’est un projet qui touche à la fois l’environnement et l’agriculture.
Le Quotidien
Déjà , informe Tidiane Diallo, 2 millions de plantes sont en train d’être préparées dans les pépinières. Avec une grande diversité d’espèces. Allant des espèces fruitières jusqu’à celles forestières.
«Nous voulons qu’à terme, chaque ménage dispose d’un arbre qu’il se chargera de planter, d’entretenir et de surveiller.» Outre ces aspects, le projet contribue de façon considérable dans la politique d’emploi des jeunes, d’après M. Diallo. A preuve, souligne-t-il, «nous avons à ce jour, près d’une trentaine d’emplois fixes et plus de 50 emplois permanents. Compte non tenu des emplois temporaires».
Ainsi a-t-il invité le président du Conseil départemental de Tamba à porter le plaidoyer auprès des autorités centrales pour que le projet puisse s’étendre à d’autres départements.
Dans la région, informe-t-il, seules 3 communes sont touchées, notamment Missirah, Netteboulou et Dialacoto. Alors que les potentialités sont là , estime Tidiane Diallo.
Fatoumata Sy Sao, responsable de la mission locale de l’Emploi et de l’entreprenariat, dira être très satisfaite de l’initiative du projet. C’est une excellente chose, surtout en ce qu’il permet de créer des emplois pour les jeunes et les femmes. Le président du Conseil départemental lui emboitera le pas.
«Votre initiative est à encourager et surtout à amplifier. Outre les 3 localités d’intervention, il faut songer à l’étendre aux autres collectivités territoriales», soutient Mamadou Kassé, qui promet de tout mettre en œuvre pour son élargissement et surtout sa pérennisation. Car, considère M. Kassé, c’est un projet qui touche à la fois l’environnement et l’agriculture.
Le Quotidien