i[’J’aimerais apporter certaines précisions relativement aux aspects sécuritaires. […]. D’ores et déjà, je puis annoncer que le chef de l’Etat a décidé de la mise en place d’une police des mobilités]i’’, a-t-il dit.
Le ministre de l’Intérieur accompagnait le Premier ministre qui effectuait une visite des chantiers du BRT, après les dégradations occasionnés par les dernières manifestations.
Le ministre des Infrastructures, Mansour Faye, les directeurs de l’Ageroute, du CETUD et les autorités administratives ont également pris part à cette visite.
Cette police sera ”dédiée spécifiquement aux BRT”, a dit Antoine Félix Diome."Ce sera une compagnie spéciale comme nous l’avons vu pour le TER, qui s’occupera exclusivement de protéger les passagers, mais également les bus ainsi que les différentes infrastructures liées au BRT", a-t-il précisé.
Antoine Félix Diome a annoncé que des mesures idoines seront prises au préalable, dans l’urgence, pour la protection des travaux en cours.
Le ministre des Infrastructures, Mansour Faye, est revenu sur l’ampleur des dégâts enregistrés sur les stations.
”Le constat a été général. Dix-neuf stations sur vingt-trois ont été vandalisées. Des systèmes de billettique détruits, toute la signalisation le long du corridor détruite. Au niveau des stations, il n’y a plus de vitrage. Aujourd’hui, les équipes de Agéroute et du Cetud sont en train de faire l’évaluation avec les huissiers commis à cet effet, pour donner exactement le coût des dommages subis”, a-t-il indiqué.
Le ministre de l’Intérieur accompagnait le Premier ministre qui effectuait une visite des chantiers du BRT, après les dégradations occasionnés par les dernières manifestations.
Le ministre des Infrastructures, Mansour Faye, les directeurs de l’Ageroute, du CETUD et les autorités administratives ont également pris part à cette visite.
Cette police sera ”dédiée spécifiquement aux BRT”, a dit Antoine Félix Diome."Ce sera une compagnie spéciale comme nous l’avons vu pour le TER, qui s’occupera exclusivement de protéger les passagers, mais également les bus ainsi que les différentes infrastructures liées au BRT", a-t-il précisé.
Antoine Félix Diome a annoncé que des mesures idoines seront prises au préalable, dans l’urgence, pour la protection des travaux en cours.
Le ministre des Infrastructures, Mansour Faye, est revenu sur l’ampleur des dégâts enregistrés sur les stations.
”Le constat a été général. Dix-neuf stations sur vingt-trois ont été vandalisées. Des systèmes de billettique détruits, toute la signalisation le long du corridor détruite. Au niveau des stations, il n’y a plus de vitrage. Aujourd’hui, les équipes de Agéroute et du Cetud sont en train de faire l’évaluation avec les huissiers commis à cet effet, pour donner exactement le coût des dommages subis”, a-t-il indiqué.