Selon le Conseil national du don et de la transplantation (CNDT), autorité chargée d’assurer la transparence, la coordination du don et du prélèvement, la gestion des registres ainsi que les échanges internationaux, «le travail de la sécurité sanitaire et du respect de l’éthique médicale est en train d’être mené avec tous les acteurs pour l’effectivité à court termes de la transplantation dans le pays».
Même si la loi a été votée en décembre 2015, renseigne "Sud Quotidien" dans son édition de ce mercredi, les insuffisants rénaux, tout comme les familles, attendent l’effectivité de la transplantation au Sénégal.
Pour le CNDT, qui a fait face à la presse hier, les ressources pour la pratique de l’acte chirurgical ne manquent pas au Sénégal. Toutefois, il reste toujours des préalables à régler.
«Nous n’allons démarrer la transplantation que quand on aura un hôpital qui a déjà reçu un agrément. Pour le moment, ce n’est pas le cas. Il y a trois à quatre hôpitaux qui se sont manifestés mais il reste des compléments d’informations pour remplir les grilles», a fait savoir le président dudit Conseil, le professeur El Hadji Fary Kâ.
Et de rappeler : «Ce ne sont pas les ressources humaines qui manquent. Le Sénégal a consenti de nombreux efforts. Si nous étions à deux voire trois néphrologues pour tout le pays, aujourd’hui, nous sommes à plus de 40 spécialistes. Le geste chirurgical est mineur mais la complexité réside uniquement dans le couple donneur-receveur».
Le Sénégal, dans sa démarche de prise en charge sanitaire de ses patients, entend aller vers la greffe de la cornée, afin de permettre à certaines personnes de recouvrer la vue.
Pour rappel, la transplantation rénale consiste en un transfert d’un rein sain d’un individu donneur à un parent qui présente une insuffisance rénale chronique sévère qui est le receveur, par un acte chirurgical librement accepté.
À cet effet, seules les personnes dont les reins ne peuvent plus assurer leur fonction de façon définitive, doivent en subir l’acte.
Les conditions pour recevoir un rein sont ainsi établies par le Sénégal à savoir : avoir un donneur apparenté, avoir une insuffisance rénale chronique sévère, ne pas avoir de contre-indications à la transplantation rénale et enfin signer le document de consentement.
Actunet
Même si la loi a été votée en décembre 2015, renseigne "Sud Quotidien" dans son édition de ce mercredi, les insuffisants rénaux, tout comme les familles, attendent l’effectivité de la transplantation au Sénégal.
Pour le CNDT, qui a fait face à la presse hier, les ressources pour la pratique de l’acte chirurgical ne manquent pas au Sénégal. Toutefois, il reste toujours des préalables à régler.
«Nous n’allons démarrer la transplantation que quand on aura un hôpital qui a déjà reçu un agrément. Pour le moment, ce n’est pas le cas. Il y a trois à quatre hôpitaux qui se sont manifestés mais il reste des compléments d’informations pour remplir les grilles», a fait savoir le président dudit Conseil, le professeur El Hadji Fary Kâ.
Et de rappeler : «Ce ne sont pas les ressources humaines qui manquent. Le Sénégal a consenti de nombreux efforts. Si nous étions à deux voire trois néphrologues pour tout le pays, aujourd’hui, nous sommes à plus de 40 spécialistes. Le geste chirurgical est mineur mais la complexité réside uniquement dans le couple donneur-receveur».
Le Sénégal, dans sa démarche de prise en charge sanitaire de ses patients, entend aller vers la greffe de la cornée, afin de permettre à certaines personnes de recouvrer la vue.
Pour rappel, la transplantation rénale consiste en un transfert d’un rein sain d’un individu donneur à un parent qui présente une insuffisance rénale chronique sévère qui est le receveur, par un acte chirurgical librement accepté.
À cet effet, seules les personnes dont les reins ne peuvent plus assurer leur fonction de façon définitive, doivent en subir l’acte.
Les conditions pour recevoir un rein sont ainsi établies par le Sénégal à savoir : avoir un donneur apparenté, avoir une insuffisance rénale chronique sévère, ne pas avoir de contre-indications à la transplantation rénale et enfin signer le document de consentement.
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