Alors que la multinationale française Orange espérait booster à 200 millions d'euros, (environ 130 milliards de francs CFA), d'ici 2018, les revenus générés par Orange Money, les dirigeants de l'entreprise reçoivent un coup d'arrêt de la BCEAO.
Selon les information de jeuneafrique.com, les directions nationales de la BCEAO en Côte d'Ivoire, au Mali et au Sénégal ont adressé en fin février des injonctions à Orange Finances Mobiles Mali, Orange Money Côte d'Ivoire et Orange Finances Mobiles Sénégal des injonctions. Celles-ci visent à "mettre fin sans délai aux opérations de transfert international d'argent qui sont hors du champ des activités qu'elles ont été autorisées à effectuer".
D'après la même source, citant une note explicative de la BCEAO, une mission de surveillance des systèmes et moyens de paiement de la BCEAO qui a "constaté qu'Orange Fianances Mobiles Mali, comme Orange Money Côte d'Ivoire et Oranges Finances Mobiles Sénégal, proposent au public des services de transfert de fonds entre les pays de l'UEMOA et l'extérieur".
Ce que n'apprécie pas la BCEAO car "comme le précisent les dispositions pertinentes du règlement relatif aux relations financières extérieures des Etats membres de l'UEMOA, ces opérations relèvent exclusivement de la compétence des établissements de crédit installés sur le territoire d'un Etat membre de l'UEMOA ayant reçu la qualité d'intermédiaires agréés", ce qui n'est pas le cas d'Orange.
En mars 2016, l'opérateur Orange avait obtenu de la BCEAO trois agréments pour devenir établissement émetteur de monnaie électronique au Sénégal, au Mali et en Côte d'Ivoire.
source: l'AS
Selon les information de jeuneafrique.com, les directions nationales de la BCEAO en Côte d'Ivoire, au Mali et au Sénégal ont adressé en fin février des injonctions à Orange Finances Mobiles Mali, Orange Money Côte d'Ivoire et Orange Finances Mobiles Sénégal des injonctions. Celles-ci visent à "mettre fin sans délai aux opérations de transfert international d'argent qui sont hors du champ des activités qu'elles ont été autorisées à effectuer".
D'après la même source, citant une note explicative de la BCEAO, une mission de surveillance des systèmes et moyens de paiement de la BCEAO qui a "constaté qu'Orange Fianances Mobiles Mali, comme Orange Money Côte d'Ivoire et Oranges Finances Mobiles Sénégal, proposent au public des services de transfert de fonds entre les pays de l'UEMOA et l'extérieur".
Ce que n'apprécie pas la BCEAO car "comme le précisent les dispositions pertinentes du règlement relatif aux relations financières extérieures des Etats membres de l'UEMOA, ces opérations relèvent exclusivement de la compétence des établissements de crédit installés sur le territoire d'un Etat membre de l'UEMOA ayant reçu la qualité d'intermédiaires agréés", ce qui n'est pas le cas d'Orange.
En mars 2016, l'opérateur Orange avait obtenu de la BCEAO trois agréments pour devenir établissement émetteur de monnaie électronique au Sénégal, au Mali et en Côte d'Ivoire.
source: l'AS