Le président de la République, Macky Sall, a appelé à "une plus grande vigilance" pour préserver la stabilité du pays, samedi à Dakar, en allusion aux dangers du terrorisme.
"Nous sommes dans une zone de turbulences. Nous voyons ce qui se passe dans le monde entier et cela doit nous imposer une plus grande vigilance", a-t-il déclaré à des journalistes, peu après avoir participé à la prière de l’Aïd-el-fitr - fin du jeûne musulman - à la Grande mosquée de Dakar.
Le président Sall a invité citoyens et structures étatiques à davantage faire preuve de vigilance, ’’pour que la paix connue au Sénégal, la stabilité puissent perdurer", malgré un contexte internationale marqué par des instabilités de toutes sortes.
"Nous devons rendre grâce à Dieu, puis qu’il nous a gratifié d’un pays stable, d’un pays où la concorde est une des valeurs essentielles qui caractérise notre sénégalité. Nous devons tout faire pour préserver cette paix et cette concorde nationale", a-t-il dit. Macky Sall a ensuite prié pour "un hivernage pluvieux et utile".
Parlant des divergences persistantes dans la détermination des dates des fêtes musulmanes, Macky Sall relève que cette question tient à "un problème d’interprétation des textes religieux et doit être débattu par les religieux".
Une grande partie des fidèles musulmans a célébré l’Aïd-el-fitr samedi, 24 heures après certains de leurs coreligionnaires, dont la famille Omarienne et le mouvement Ibadou Rahmane.
Au Sénégal, les dates des fêtes musulmanes sont souvent sources de divisions entre les musulmans, qui entament par exemple le jeûne en rangs dispersés et le terminent de la même façon, en raison de divergences sur l’apparition du croissant lunaire.
L’Etat pour ce qui le concerne, "va continuer à aider et appuyer" les familles religieuses, les associations, entre autres, a assuré le président de la République.
APS
"Nous sommes dans une zone de turbulences. Nous voyons ce qui se passe dans le monde entier et cela doit nous imposer une plus grande vigilance", a-t-il déclaré à des journalistes, peu après avoir participé à la prière de l’Aïd-el-fitr - fin du jeûne musulman - à la Grande mosquée de Dakar.
Le président Sall a invité citoyens et structures étatiques à davantage faire preuve de vigilance, ’’pour que la paix connue au Sénégal, la stabilité puissent perdurer", malgré un contexte internationale marqué par des instabilités de toutes sortes.
"Nous devons rendre grâce à Dieu, puis qu’il nous a gratifié d’un pays stable, d’un pays où la concorde est une des valeurs essentielles qui caractérise notre sénégalité. Nous devons tout faire pour préserver cette paix et cette concorde nationale", a-t-il dit. Macky Sall a ensuite prié pour "un hivernage pluvieux et utile".
Parlant des divergences persistantes dans la détermination des dates des fêtes musulmanes, Macky Sall relève que cette question tient à "un problème d’interprétation des textes religieux et doit être débattu par les religieux".
Une grande partie des fidèles musulmans a célébré l’Aïd-el-fitr samedi, 24 heures après certains de leurs coreligionnaires, dont la famille Omarienne et le mouvement Ibadou Rahmane.
Au Sénégal, les dates des fêtes musulmanes sont souvent sources de divisions entre les musulmans, qui entament par exemple le jeûne en rangs dispersés et le terminent de la même façon, en raison de divergences sur l’apparition du croissant lunaire.
L’Etat pour ce qui le concerne, "va continuer à aider et appuyer" les familles religieuses, les associations, entre autres, a assuré le président de la République.
APS