La préparation de la célébration, le 7 mars prochain, à Ndiassane, dans un contexte sociopolitique tendu au Sénégal, du 4e jour du mois de Shabaan coïncidant avec l’anniversaire du rappel à Dieu de Mame Cheikh Bouh Kounta, premier Khalife de la famille Ah-Loul Kountiyou, a constitué une opportunité pour le Khalife général Cheikh Bécaye Al Bécaye, d’appeler, au nom de l’ensemble des confréries au Sénégal, au « sens de la responsabilité et au dialogue, gage d’une stabilité sociale ».
Dans un message de paix délivré au cours d’un point de presse par le porte-parole de la famille religieuse de Ndiassane, Papa Abdourahmane Kounta, le Khalife, après avoir prié pour que « la paix règne au Sénégal », a invité les acteurs politiques à la « sérénité ». Il a surtout préconisé un « dialogue entre les acteurs, autour d’une table pour la pacification de l’espace public, théâtre de tensions politico-sociales et de vives polémiques ».
Papa Abdourahmane Kounta a également insisté sur « la nécessité de s’asseoir autour d’une table, pour discuter des problèmes du pays, pour le retour de la paix ». Un vœu sincère et profond du Khalife Cheikh Bécaye Al Bécaye, qui n’a pas manqué d’évoquer la « crise des valeurs presque généralisée », invitant les jeunes, en particulier, à un « retour aux valeurs de la société sénégalaise ».
Le porte-parole du Khalife général de la famille Ah-Lou Kountiyou, a déploré « les dégâts collatéraux causés par les réseaux sociaux », qui, se rappelle-t-il, « ont même été un sujet de discussion entre le chef de l’État et la famille Kountiyou, lors de sa dernière visite à Ndiassane ».
Selon lui, « les réseaux sociaux sont un grand mal pour le Sénégal, un pays qui a toujours été et restera encore ‘’Un’’ et ‘’indivisible’’ ». La famille de Mame Cheikh Bouh Kounta, qui regrette les « scènes de violence de plus en plus enregistrées dans l’espace public », appelle tout le monde, à la « retenue», à « une nécessaire concertation et un dialogue politique entre acteurs concernés, lesquels se doivent de réviser leurs comportements physiques et verbaux, pour un Sénégal de paix et stable ».
Pour terminer, Cheikh Bécaye Al Bécaye a invité nos compatriotes, à « bannir les invectives qui incitent à la violence », et donc, à faire preuve de « sens des responsabilités ».
Dans un message de paix délivré au cours d’un point de presse par le porte-parole de la famille religieuse de Ndiassane, Papa Abdourahmane Kounta, le Khalife, après avoir prié pour que « la paix règne au Sénégal », a invité les acteurs politiques à la « sérénité ». Il a surtout préconisé un « dialogue entre les acteurs, autour d’une table pour la pacification de l’espace public, théâtre de tensions politico-sociales et de vives polémiques ».
Papa Abdourahmane Kounta a également insisté sur « la nécessité de s’asseoir autour d’une table, pour discuter des problèmes du pays, pour le retour de la paix ». Un vœu sincère et profond du Khalife Cheikh Bécaye Al Bécaye, qui n’a pas manqué d’évoquer la « crise des valeurs presque généralisée », invitant les jeunes, en particulier, à un « retour aux valeurs de la société sénégalaise ».
Le porte-parole du Khalife général de la famille Ah-Lou Kountiyou, a déploré « les dégâts collatéraux causés par les réseaux sociaux », qui, se rappelle-t-il, « ont même été un sujet de discussion entre le chef de l’État et la famille Kountiyou, lors de sa dernière visite à Ndiassane ».
Selon lui, « les réseaux sociaux sont un grand mal pour le Sénégal, un pays qui a toujours été et restera encore ‘’Un’’ et ‘’indivisible’’ ». La famille de Mame Cheikh Bouh Kounta, qui regrette les « scènes de violence de plus en plus enregistrées dans l’espace public », appelle tout le monde, à la « retenue», à « une nécessaire concertation et un dialogue politique entre acteurs concernés, lesquels se doivent de réviser leurs comportements physiques et verbaux, pour un Sénégal de paix et stable ».
Pour terminer, Cheikh Bécaye Al Bécaye a invité nos compatriotes, à « bannir les invectives qui incitent à la violence », et donc, à faire preuve de « sens des responsabilités ».