« La démocratie, étant une partie intégrante du développement durable, il est question de voir comment créer une démocratie qui prenne en compte, aujourd’hui, nos préoccupations, mais, qui porte aux générations de demain une démocratie qui leur permettra de vivre dans un Etat de droit, dans une démocratie, mais également dans une bonne gouvernance des ressources que les générations partagent », a fait savoir le ministre en charge de l'intégration Africaine, du NEPAD et de la Promotion de la Bonne Gouvernance. Khadim diop d’ajouter : « Depuis longtemps, la démocratie est une dynamique, et en tant que dynamique, c’est quelque chose que nous sommes appelés, toujours, à revoir et à consolider et c’est en cela qu’il faut toujours réfléchir pour nous adapter à la démocratie et adapter cette démocratie à nos systèmes de gouvernance », « c’est toujours important de réfléchir, d’améliorer notre vision et notre conception de la démocratie en vue de faire de sorte que les générations futures ne souffrent pas de vivre dans des conditions où ils ne pourront pas vivre dans un Etat de droit et dans une démocratie », a-t-il dit sur l’importance de ce panel d’experts.
L’ancien Premier ministre de la Tunisie précisera, pour sa part, qu’il n’est pas présent à cette rencontre en tant que donneur de leçons, mais pour exposer « une courte expérience dans la direction de (son) pays, surtout, post-révolutionnaire ». « Nous sommes en régression rapide des valeurs de la justice », dit-il indiquant que cette rencontre de Dakar constitue un espoir pour trouver les solutions afin « de remonter la pente », c’est-à -dire « militer pour l’instauration de la démocratie partout dans le monde ».
L’ancien Premier ministre de la Tunisie précisera, pour sa part, qu’il n’est pas présent à cette rencontre en tant que donneur de leçons, mais pour exposer « une courte expérience dans la direction de (son) pays, surtout, post-révolutionnaire ». « Nous sommes en régression rapide des valeurs de la justice », dit-il indiquant que cette rencontre de Dakar constitue un espoir pour trouver les solutions afin « de remonter la pente », c’est-à -dire « militer pour l’instauration de la démocratie partout dans le monde ».