L’amélioration de la qualité du cadre macroéconomique enclenché depuis la dévaluation du franc CFA en 1994, qui se poursuit jusqu’à maintenant, a permis au Sénégal d’atteindre des taux de croissance de 5% à 6% à partir de 2000. Toutefois, malgré la préservation des réserves de compétitivité (prix) issues de la dévaluation grâce notamment à la maîtrise de l’inflation, les problèmes de compétitivité structurelle persistent. Le niveau relativement élevé des coûts des facteurs de production, l’accès difficile à un foncier aménagé et au financement ainsi que la mauvaise connaissance des marchés extérieurs handicapent l’accès à ces marchés.
Ainsi, pour accompagner cette dynamique de croissance afin de réaliser des taux de croissance de 7% sur de longues années et devant l’urgence à agir face aux défis de la mondialisation, il a été mis en place, en accord avec l’ensemble des acteurs au développement, la Stratégie de Croissance Accélérée (SCA) qui vise à rendre opérationnel l’axe « création de richesse du DSRP ».
La mise en œuvre de la Stratégie de Croissance Accélérée permettra, comme l’a rappelé le Chef de l’Etat lors de son message à la Nation du 31 Décembre 2005, de réduire, voire d’éradiquer la pauvreté. La SCA vient soutenir les efforts déjà entamés dans le cadre du DSRP en vue d’atteindre les OMD en 2015.
A cet effet, la SCA s’appuie sur la conduite de réformes portant sur les déterminants microéconomiques ou structurels de la compétitivité, c’est-à-dire les facteurs qui ont un effet direct ou indirect sur la création et l’exploitation d’une entreprise, tout au long de la chaine de valeur des produits pour lesquels le Sénégal dispose d’avantages comparatifs. Ces réformes sont articulées autour de l’axe de la mise en place d’un environnement des affaires de classe internationale devant faire du Sénégal une destination attractive pour les investisseurs qui opèrent à l’échelle mondiale.
La conduite à bonne échéance de ces priorités a nécessité la mise en place de grappes de croissance qui symbolisent à la fois le cadre d’analyse des contraintes à la compétitivité et la démarche partenariale entre deux ou plusieurs acteurs représentants l’Etat, le secteur privé et la société civile.
Depuis que le processus d’élaboration est lancé, la Stratégie de Croissance Accélérée est dans sa phase de parachèvement, après une année de concertation entre tous acteurs gouvernements et représentants du secteur privé et de la société civile, et avec l’appui de plusieurs partenaires au développement comme l’AFD (Agence Française de Développement), la Banque Mondiale, l’ONUDI (Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel), le Centre de Développement des Entreprises (CDE).
Au niveau gouvernemental, l’élaboration de la Stratégie a été conduite suivant une démarche partenariale sous la supervision conjointe du Ministère de l’Economie et des Finances à travers le Centre d’Etudes de Politiques pour le Développement (CEPOD) et de l’APIX (Agence nationale de Promotion des Investissements privés et des Grands Travaux).
Ainsi, pour accompagner cette dynamique de croissance afin de réaliser des taux de croissance de 7% sur de longues années et devant l’urgence à agir face aux défis de la mondialisation, il a été mis en place, en accord avec l’ensemble des acteurs au développement, la Stratégie de Croissance Accélérée (SCA) qui vise à rendre opérationnel l’axe « création de richesse du DSRP ».
La mise en œuvre de la Stratégie de Croissance Accélérée permettra, comme l’a rappelé le Chef de l’Etat lors de son message à la Nation du 31 Décembre 2005, de réduire, voire d’éradiquer la pauvreté. La SCA vient soutenir les efforts déjà entamés dans le cadre du DSRP en vue d’atteindre les OMD en 2015.
A cet effet, la SCA s’appuie sur la conduite de réformes portant sur les déterminants microéconomiques ou structurels de la compétitivité, c’est-à-dire les facteurs qui ont un effet direct ou indirect sur la création et l’exploitation d’une entreprise, tout au long de la chaine de valeur des produits pour lesquels le Sénégal dispose d’avantages comparatifs. Ces réformes sont articulées autour de l’axe de la mise en place d’un environnement des affaires de classe internationale devant faire du Sénégal une destination attractive pour les investisseurs qui opèrent à l’échelle mondiale.
La conduite à bonne échéance de ces priorités a nécessité la mise en place de grappes de croissance qui symbolisent à la fois le cadre d’analyse des contraintes à la compétitivité et la démarche partenariale entre deux ou plusieurs acteurs représentants l’Etat, le secteur privé et la société civile.
Depuis que le processus d’élaboration est lancé, la Stratégie de Croissance Accélérée est dans sa phase de parachèvement, après une année de concertation entre tous acteurs gouvernements et représentants du secteur privé et de la société civile, et avec l’appui de plusieurs partenaires au développement comme l’AFD (Agence Française de Développement), la Banque Mondiale, l’ONUDI (Organisation des Nations Unies pour le Développement Industriel), le Centre de Développement des Entreprises (CDE).
Au niveau gouvernemental, l’élaboration de la Stratégie a été conduite suivant une démarche partenariale sous la supervision conjointe du Ministère de l’Economie et des Finances à travers le Centre d’Etudes de Politiques pour le Développement (CEPOD) et de l’APIX (Agence nationale de Promotion des Investissements privés et des Grands Travaux).