Très souvent, Ousmane Sonko accuse le pouvoir en place de discrimination envers les Sénégalais du Sud. Dans sa dernière sortie médiatique, il accuse le Président Macky Sall de se servir, depuis quelques temps, d’une même communauté pour le mettre hors de course à la prochaine élection de 2024. «Qu’il s’appelle Ndèye, Bandiaki, Napel ou Malak, c’est une seule communauté très connue qui vit ici avec nous qui se charge de faire le sale boulot. Macky Sall veut diviser la Casamance en prenant une filière où sont regroupées toutes les personnes qui font le sale boulot, des agresseurs, quelquefois même des ministres et même au sein de la magistrature. Vous avez constaté que le juge Hippolyte Ndèye qui était chargé du dossier est un parent de Victorine Ndèye», a déclaré le leader du Pastef qui s’exprimait suite aux évènements tragiques nés à la veille de l’ouverture de son procès contre Adji Sarr.
Revenant sur les décisions de justice, le maire de Ziguinchor qui séjourne dans sa commune depuis le 14 juin a indiqué que le verdict de sa première audience aurait échappé au Président Sall. «C’est pourquoi, lors du procès en appel, Amady Diouf qui avait hérité du dossier en première instance a été désigné juge lors du procès en appel, alors que lui et Elisabeth Mbengue étaient du parquet lors du premier jugement. Entre-temps, c’est le juge Ousmane :Guèye, secrétaire général du cabinet de Victorine Ndèye, qui a été commis d’urgence pour juger l’affaire. Dans le dossier de l’accusation de viol, ils ont désigné le juge Hippolyte Ndèye, un frère de Victorine Ndèye», déballe le leader du Pastef.
Des propos que dénoncent avec la dernière énergie certains membres de la communauté mancagne qui invitent les associations des droits de l'homme à agir face à cette «stigmatisation».
D’ailleurs dans un post sur sa page Twitter, la ministre de la Microfinance a qualifié de «mensonges» les propos d’Ousmane Sonko. «Je sais qu'il ment. Il sait qu'il ment. Il sait que je sais qu'il ment. Je sais qu'il sait que je sais qu'il ment. Et pourtant, il a menti. Je n'ai pas la force, simple mortelle et femme que je suis, de m'opposer à l'énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge», a-t-elle posté comme réponse.
Revenant sur les décisions de justice, le maire de Ziguinchor qui séjourne dans sa commune depuis le 14 juin a indiqué que le verdict de sa première audience aurait échappé au Président Sall. «C’est pourquoi, lors du procès en appel, Amady Diouf qui avait hérité du dossier en première instance a été désigné juge lors du procès en appel, alors que lui et Elisabeth Mbengue étaient du parquet lors du premier jugement. Entre-temps, c’est le juge Ousmane :Guèye, secrétaire général du cabinet de Victorine Ndèye, qui a été commis d’urgence pour juger l’affaire. Dans le dossier de l’accusation de viol, ils ont désigné le juge Hippolyte Ndèye, un frère de Victorine Ndèye», déballe le leader du Pastef.
Des propos que dénoncent avec la dernière énergie certains membres de la communauté mancagne qui invitent les associations des droits de l'homme à agir face à cette «stigmatisation».
D’ailleurs dans un post sur sa page Twitter, la ministre de la Microfinance a qualifié de «mensonges» les propos d’Ousmane Sonko. «Je sais qu'il ment. Il sait qu'il ment. Il sait que je sais qu'il ment. Je sais qu'il sait que je sais qu'il ment. Et pourtant, il a menti. Je n'ai pas la force, simple mortelle et femme que je suis, de m'opposer à l'énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge», a-t-elle posté comme réponse.