« La communauté internationale veut la paix, les Guinéens veulent des élections transparentes. Je dis aux guinéens de veiller à ce que les élections soient transparentes, si elles ne sont pas conformes, nous ne les accepterons pas ».
Par ailleurs, l’épouse de Sidya Touré n’a pu effectuer son devoir civique. Le chef de file de l’UFR dénonce par là la « mauvaise organisation de ce scrutin et les nombreuses fraudent qui l’ont caractérisé durant tout le processus ».
« Je suis là avec mon épouse, elle n’a pas pu voter parce qu’elle n’a pas de carte d’électeur. Elle s’est enregistrée à Abidjan, sa carte d’électeur se retrouve je ne sais où » a déploré le candidat de l’UFR.
Parlant des dysfonctionnements enregistrés lors de ce scrutin présidentiel, le chef de file de l’Union des Forces Républicaines a dénoncé l’implication des responsables locaux dans le processus électoral.
« A des endroits des noms ne sont pas retrouvés comme à Tondon où, comme en 2010 c’est le chef de quartier lui-même qui a transporté les bulletins de vote dans des sacs en plastic. Aujourd’hui la même sous-préfecture a ramassé quatre bureaux de vote pour aller les mettre sous son contrôle. Pour le cas précis de Siguiri on a pris des urnes dans des familles Doumbouya, Savané. Il est donc incontestable que nous nous orientons vers un processus fortement vicieux » a dénoncé l’opposant Sidya Touré.
« Nous avons les mêmes rapports sur Conakry. Mais j’espère que d’ici 16 heures, nous serons fixés, non pas sur la fiabilité du scrutin, mais l’ampleur de la fraude par rapport à ces élections. Nous n’accordons pas de crédibilité à ce qui est en train de se passer. A Kaloum par exemple, à l’école Frédérico Mayor, on a fait sortir tous les représentants de l’UFR pour la gendarmerie (…). Ce sont des problèmes créés de toutes pièces dans un objectif précis’’ a lancé l’ancien premier ministre.
africaguinée
Par ailleurs, l’épouse de Sidya Touré n’a pu effectuer son devoir civique. Le chef de file de l’UFR dénonce par là la « mauvaise organisation de ce scrutin et les nombreuses fraudent qui l’ont caractérisé durant tout le processus ».
« Je suis là avec mon épouse, elle n’a pas pu voter parce qu’elle n’a pas de carte d’électeur. Elle s’est enregistrée à Abidjan, sa carte d’électeur se retrouve je ne sais où » a déploré le candidat de l’UFR.
Parlant des dysfonctionnements enregistrés lors de ce scrutin présidentiel, le chef de file de l’Union des Forces Républicaines a dénoncé l’implication des responsables locaux dans le processus électoral.
« A des endroits des noms ne sont pas retrouvés comme à Tondon où, comme en 2010 c’est le chef de quartier lui-même qui a transporté les bulletins de vote dans des sacs en plastic. Aujourd’hui la même sous-préfecture a ramassé quatre bureaux de vote pour aller les mettre sous son contrôle. Pour le cas précis de Siguiri on a pris des urnes dans des familles Doumbouya, Savané. Il est donc incontestable que nous nous orientons vers un processus fortement vicieux » a dénoncé l’opposant Sidya Touré.
« Nous avons les mêmes rapports sur Conakry. Mais j’espère que d’ici 16 heures, nous serons fixés, non pas sur la fiabilité du scrutin, mais l’ampleur de la fraude par rapport à ces élections. Nous n’accordons pas de crédibilité à ce qui est en train de se passer. A Kaloum par exemple, à l’école Frédérico Mayor, on a fait sortir tous les représentants de l’UFR pour la gendarmerie (…). Ce sont des problèmes créés de toutes pièces dans un objectif précis’’ a lancé l’ancien premier ministre.
africaguinée