« Dans un continent où, dans la plupart des États, les contre-pouvoirs sont faibles, et où le président en exerce contrôle l’appareil d’État et dispose de toutes les ressources publiques, seule une limitation des mandats présidentiels permet d’assurer l’alternance au pouvoir», a d’emblée indiqué Seydi Gassama qui ne s’en limite pas là .
« L’alternance au pouvoir est la seule panacée contre les guerres civiles et les coups d’État et aucun État africain n’est à l’abri de ces fléaux», estime M. Gassama, qui renchérit que « dix ou 12 ans à la tête d’un État, quelle que soit la lenteur des procédures, c’est suffisant pour réaliser son programme et partir».
Sud Quotidien
« L’alternance au pouvoir est la seule panacée contre les guerres civiles et les coups d’État et aucun État africain n’est à l’abri de ces fléaux», estime M. Gassama, qui renchérit que « dix ou 12 ans à la tête d’un État, quelle que soit la lenteur des procédures, c’est suffisant pour réaliser son programme et partir».
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