Horizon sans frontières interpelle, à travers un communiqué envoyé à Leral, le président de la République sur la situation dramatique des Sénégalais bloqués au Niger et en Libye. « Il y a urgence pour certains d'entre eux qui manifestent déjà des signes de fatigue et de faiblesse », a-t-il dit, rappelant que plus de 1000 Subsahariens, dont plusieurs centaines de Sénégalais, entrent en Libye via le Niger chaque mois et ces migrants en situation de dominés et vulnérabilité sont en proie au terrorisme parce que enrôlés contre leur gré dans les factions rivales. Boubacar Sèye dit regretter encore les sorties du Directeur des Sénégalais de l'Extérieur, Sory Kaba. « Ce dernier ne rend pas service à l’État du Sénégal, ni à la diaspora », martèle-t-il.
« Depuis plus de trois mois, M. Mbow et moi avions tiré la sonnette d'alarme sur la situation de ces Sénégalais détenus en Libye et un agent de la Direction des Sénégalais de l’extérieur a eu même le courage de dire à M. Mbow, dont un des fils fait partie des victimes : "Nous ne pouvons rien faire car nous n’avons même pas de représentation diplomatique en Libye" », révèle-t-il.
S’agissant de la caricature de jeune Afrique, le responsable de Horizon sans frontières a apporté son soutien à la communauté mouride. « Le mouridisme est notre patrimoine culturel et l'Etat doit veiller à sa protection et à sa promotion », dit-il, réclamant plus de respect pour nos guides religieux et demande à jeune Afrique de ne plus mentionner le nom de Horizon sans frontières dans son journal comme ce fut le cas lors du différend Gabon/HSF sur les expulsés de Libreville.
« Depuis plus de trois mois, M. Mbow et moi avions tiré la sonnette d'alarme sur la situation de ces Sénégalais détenus en Libye et un agent de la Direction des Sénégalais de l’extérieur a eu même le courage de dire à M. Mbow, dont un des fils fait partie des victimes : "Nous ne pouvons rien faire car nous n’avons même pas de représentation diplomatique en Libye" », révèle-t-il.
S’agissant de la caricature de jeune Afrique, le responsable de Horizon sans frontières a apporté son soutien à la communauté mouride. « Le mouridisme est notre patrimoine culturel et l'Etat doit veiller à sa protection et à sa promotion », dit-il, réclamant plus de respect pour nos guides religieux et demande à jeune Afrique de ne plus mentionner le nom de Horizon sans frontières dans son journal comme ce fut le cas lors du différend Gabon/HSF sur les expulsés de Libreville.