« Le procès de Hissène Habré a démarré ce 20 juillet 2015 malgré les nombreuses irrégularités dénoncées devant les juridictions compétentes appelées à dire le droit », fustige Sambou Biagui, président de la plateforme africaine pour la défense des droits de l’homme (Pladh), dans un communiqué parvenu à Leral. Il n’a pas manqué de déplorer la façon dont les Chambres africaines extraordinaires (Cae) ont traité cette affaire mais aussi l’exclusion d’Idriss Deby du procès et « la complicité de certaines organisations de droits de l’homme qui soutiennent cette parodie de justice en se liguant avec les ennemis de l’Afrique et du peuple africain ».
Suffisant pour que M. Biagui demande à toutes les personnes éprises de justice de se mobiliser pour « la dissolution des Chambres africaines extraordinaires, incompétentes et disqualifiées pour organiser un procès équitable, la relaxe sans délais du Président Habré, la mise sur pied d’un Tribunal Pénal Africain pour juger les faits au Tchad de 1960 à 2015 , qui sera financé par l’ensemble des chefs d’ Etats de l’Union Africaine et qui sera appelé à juger tous les crimes commis en terre africaine », recommande M. Biagui.
A l’en croire, pour que les Chambres africaines soient crédibles, elles doivent inculper Idriss Deby, lancer un mandat d’arrêt contre lui mais aussi exiger le rapatriement des autres suspects à Dakar pour y être jugés. « Tant que ces conditions ne sont pas réunies, le Président Habré sera considéré comme un otage entre les mains des autorités sénégalaises.
La Pladh entend organiser une marche, dans les prochaines semaines, pour la libération de Hissène Habré « otage politique et victime d’une détention arbitraire », promet Sambou Biagui.« Le procès de Hissène Habré a démarré ce 20 juillet 2015 malgré les nombreuses irrégularités dénoncées devant les juridictions compétentes appelées à dire le droit », fustige Sambou Biagui, président de la plateforme africaine pour la défense des droits de l’homme (Pladh), dans un communiqué parvenu à Leral. Il n’a pas manqué de déplorer la façon dont les Chambres africaines extraordinaires (Cae) ont traité cette affaire mais aussi l’exclusion d’Idriss Deby du procès et « la complicité de certaines organisations de droits de l’homme qui soutiennent cette parodie de justice en se liguant avec les ennemis de l’Afrique et du peuple africain ».
Suffisant pour que M. Biagui demande à toutes les personnes éprises de justice de se mobiliser pour « la dissolution des Chambres africaines extraordinaires, incompétentes et disqualifiées pour organiser un procès équitable, la relaxe sans délais du Président Habré, la mise sur pied d’un Tribunal Pénal Africain pour juger les faits au Tchad de 1960 à 2015 , qui sera financé par l’ensemble des chefs d’ Etats de l’Union Africaine et qui sera appelé à juger tous les crimes commis en terre africaine », recommande M. Biagui.
A l’en croire, pour que les Chambres africaines soient crédibles, elles doivent inculper Idriss Deby, lancer un mandat d’arrêt contre lui mais aussi exiger le rapatriement des autres suspects à Dakar pour y être jugés. « Tant que ces conditions ne sont pas réunies, le Président Habré sera considéré comme un otage entre les mains des autorités sénégalaises.
La Pladh entend organiser une marche, dans les prochaines semaines, pour la libération de Hissène Habré « otage politique et victime d’une détention arbitraire », promet Sambou Biagui.
Suffisant pour que M. Biagui demande à toutes les personnes éprises de justice de se mobiliser pour « la dissolution des Chambres africaines extraordinaires, incompétentes et disqualifiées pour organiser un procès équitable, la relaxe sans délais du Président Habré, la mise sur pied d’un Tribunal Pénal Africain pour juger les faits au Tchad de 1960 à 2015 , qui sera financé par l’ensemble des chefs d’ Etats de l’Union Africaine et qui sera appelé à juger tous les crimes commis en terre africaine », recommande M. Biagui.
A l’en croire, pour que les Chambres africaines soient crédibles, elles doivent inculper Idriss Deby, lancer un mandat d’arrêt contre lui mais aussi exiger le rapatriement des autres suspects à Dakar pour y être jugés. « Tant que ces conditions ne sont pas réunies, le Président Habré sera considéré comme un otage entre les mains des autorités sénégalaises.
La Pladh entend organiser une marche, dans les prochaines semaines, pour la libération de Hissène Habré « otage politique et victime d’une détention arbitraire », promet Sambou Biagui.« Le procès de Hissène Habré a démarré ce 20 juillet 2015 malgré les nombreuses irrégularités dénoncées devant les juridictions compétentes appelées à dire le droit », fustige Sambou Biagui, président de la plateforme africaine pour la défense des droits de l’homme (Pladh), dans un communiqué parvenu à Leral. Il n’a pas manqué de déplorer la façon dont les Chambres africaines extraordinaires (Cae) ont traité cette affaire mais aussi l’exclusion d’Idriss Deby du procès et « la complicité de certaines organisations de droits de l’homme qui soutiennent cette parodie de justice en se liguant avec les ennemis de l’Afrique et du peuple africain ».
Suffisant pour que M. Biagui demande à toutes les personnes éprises de justice de se mobiliser pour « la dissolution des Chambres africaines extraordinaires, incompétentes et disqualifiées pour organiser un procès équitable, la relaxe sans délais du Président Habré, la mise sur pied d’un Tribunal Pénal Africain pour juger les faits au Tchad de 1960 à 2015 , qui sera financé par l’ensemble des chefs d’ Etats de l’Union Africaine et qui sera appelé à juger tous les crimes commis en terre africaine », recommande M. Biagui.
A l’en croire, pour que les Chambres africaines soient crédibles, elles doivent inculper Idriss Deby, lancer un mandat d’arrêt contre lui mais aussi exiger le rapatriement des autres suspects à Dakar pour y être jugés. « Tant que ces conditions ne sont pas réunies, le Président Habré sera considéré comme un otage entre les mains des autorités sénégalaises.
La Pladh entend organiser une marche, dans les prochaines semaines, pour la libération de Hissène Habré « otage politique et victime d’une détention arbitraire », promet Sambou Biagui.