« Dans ce contexte de mondialisation où les transports aériens représentent une grande part de la valeur des échanges mondiaux, ce mode de transport peut s’avérer un levier de croissance et stimuler le développement économique », a rappelé Amadou Oumarou, directeur du Département des transports, au nom du président de la BAD, en marge de l’atelier de lancement qui s’est tenu au siège de la BAD, à Abidjan sur la sécurité aéroportuaire. « Cette rencontre va permettre aux opérateurs de la sous-région de s’aligner sur les standards de sécurité tels que définis par l’Organisation de l'aviation civile internationale (Oaci) », informe Akinwumi Adesina via un communiqué envoyé à Leral. Le Dg de la Bad d'ajouter que ce programme Baptisé PASTA-CO prévoit notamment de renforcer les capacités de supervision des différentes Agences régionales de sécurité aérienne ainsi que les mécanismes de coordination en matière de politique de transport aérien. Un autre des volets du PASTA-CO porte sur la sécurité, la sûreté et la certification des aéroports.
A en croire le représentant du président de la Bad, ce projet approuvé, par la Banque en juin 2015, doit être déployé jusqu’en 2019. « Il est doté d’une enveloppe de 16,1 millions de dollars EU (près de 6,2 milliards de francs Cfa) : 11,7 millions de dollars EU (près de 6,2 milliards de francs Cfa) proviennent du Fond africain de développement (FAD), tandis que les communautés économiques régionales que sont la Communauté économique des États de l’Afrique centrale et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest et l’Union économique et monétaire ouest-africaine se chargent de pourvoir le reste », dit-il.
A en croire le représentant du président de la Bad, ce projet approuvé, par la Banque en juin 2015, doit être déployé jusqu’en 2019. « Il est doté d’une enveloppe de 16,1 millions de dollars EU (près de 6,2 milliards de francs Cfa) : 11,7 millions de dollars EU (près de 6,2 milliards de francs Cfa) proviennent du Fond africain de développement (FAD), tandis que les communautés économiques régionales que sont la Communauté économique des États de l’Afrique centrale et la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest et l’Union économique et monétaire ouest-africaine se chargent de pourvoir le reste », dit-il.