la ferraille au Sénégal avec les nouvelles dispositions sur l'exportation, sur l'approvisionnement des deux principales usines de fer du pays, du fonds d'appui de la ferraille ouvert au ministère du commerce, du comité sur le prix entre autres. L’Union des Ferrailleurs Industriels, Brocanteurs et Arti- sans du Sénégal (UFIBAS) a tenu une conférence de presse, revenant sur les nouvelles dispositions sur l'exportation et sur l'approvisionnement des deux principales usines de fer du pays, du fonds d'appui de la ferraille.
A cette occasion, l'UFIBAS compte poser un comité pour régulariser les prix. D’après le secrétaire général, Cheikh Diop, le principal objectif c’est de procéder à la réorganisation et à la structuration du secteur suite aux perturbations nées de leur déplacement pour les besoins de l’exploitation du Train Express Régional. Pour rappel, depuis 2017, les artisans et brocanteurs qui étaient sur le site de Colobane qui sert actuellement de gare de maintenance du TER, ne savent plus où donner de la tête.
« Alors que nous nourrissons de grands projets et ambitions pour le secteur, notamment la formation des acteurs, un vaste projet de développement et la promotion de l’artisanat local pour ne citer que cela. « À l’heure où nous parlons, nous attendons des industriels que sont Someta, Fabrimetal et MMD qui sont les principales usines de fabrique de métal du Sénégal, des conventions de partenariat qui va nous lier », a-t-il dit. .
A l’en croire, ce partenariat, vise à consolider l’industrie de la fer- raille dans le pays, ils exigent plus de considération à leur égard, vu qu’ils sont les principaux fournisseurs de la matière première. Ce partenariat doit également inclure les exportateurs qui doivent aussi avoir leur part de marché sur la matière non transformée par les usines.
Abordant dans le même contexte, le président de l’Union des ferrailleurs Modou Pène lance un appel à tous les acteurs de la ferraille de se signaler pour que le processus d’assainissement du milieu entamé depuis des an- nées soit achevé. Nous profiterons de l’occasion pour lancer un appel aux industriels pour leur notifier les difficultés que rencontrent les camions qui les approvisionnent. Les équipes éprouvent d’énormes difficultés à décharger. «
Cette situation impacte négativement sur l’économie des petites moyennes entreprises que nous sommes notamment à l’approche de la Tabaski. A ce propos, l’union compte mettre à la disposition des usines qui le désirent, des centrales de collecte décentralisées pour une bonne planification de l’approvisionnement », a expliqué le président. Poursuit notre interlocuteur, selon qui, ils sont dans un secteur qui a toujours été informel mais aujourd’hui ils sont exportateurs « on a d’énormes difficultés avec la législation douanière pour le transfert des fonds et autres ».
« Nous sollicitons l’Etat du Sénégal, la douane, le ministère du commerce, le ministère de l’environnement etc. Pour qu’on essaye de réorganiser le secteur de la ferraille. Tout le monde pense que le secteur de la ferraille est l’un des promoteurs au Sénégal qui fait bouger des business, et des milliards annuellement, c’est un secteur qui a besoin d’une certaine organisation », a suggéré Modou Pène.
Selon lui, il y a énormément de camions qui stagne au niveau des indus- triels parce que eux aussi ils sont en train de faire le maximum pour décharger. Mais aujourd’hui s’il y a le soutien de l’Etat et nous qui sommes dans chaque région du Sénégal d’ouvrir des unités de collecte, d’organiser la collecte de la ferraille et l’approvisionne- ment au niveau des industriels.
Pour hausse du prix de fer il y’a les emprunts qui viennent de l’extérieur ils sont obligés de l’importer ceci explique aussi cette hausse mais on est en train d’y travailler pour voir davantage avec le comité qui a mis en place le ministre du commerce ensemble avec les ferrailleurs les industriels comment faire pour mieux harmoniser les prix pour que le prix du fer au sénégalais lambda soit beaucoup plus accessible.
Pour la signature de convention on est en train de faire un appel parce que les industriels sont au Sénégal. « Ce qu’on veut dire en est qu’il ya aucune convention qui lie l’organisation des ferrailleurs et les industriels. Pour que ce qu’on est en train de faire soit beaucoup plus dynamique et visible il faut qu’il est des conventions avec les industriels pour assurer le donné des ferrailleurs qui sont derrières ». « Ce comité permet à nous les ferrailleurs, d’avoir un droit de regard sur comment on fixe le prix, contrairement à ce qui se faisait jusqu’ici où les industriels et exportateurs avaient seuls la latitude de décider du prix.
Ces efforts énumérés, ne signifient guère que le secteur ne connaît plus de difficultés, bien au contraire. Nous sommes en train de nous donner la main pour que ces difficultés quittent définitivement le secteur », informe-t-on
A cette occasion, l'UFIBAS compte poser un comité pour régulariser les prix. D’après le secrétaire général, Cheikh Diop, le principal objectif c’est de procéder à la réorganisation et à la structuration du secteur suite aux perturbations nées de leur déplacement pour les besoins de l’exploitation du Train Express Régional. Pour rappel, depuis 2017, les artisans et brocanteurs qui étaient sur le site de Colobane qui sert actuellement de gare de maintenance du TER, ne savent plus où donner de la tête.
« Alors que nous nourrissons de grands projets et ambitions pour le secteur, notamment la formation des acteurs, un vaste projet de développement et la promotion de l’artisanat local pour ne citer que cela. « À l’heure où nous parlons, nous attendons des industriels que sont Someta, Fabrimetal et MMD qui sont les principales usines de fabrique de métal du Sénégal, des conventions de partenariat qui va nous lier », a-t-il dit. .
A l’en croire, ce partenariat, vise à consolider l’industrie de la fer- raille dans le pays, ils exigent plus de considération à leur égard, vu qu’ils sont les principaux fournisseurs de la matière première. Ce partenariat doit également inclure les exportateurs qui doivent aussi avoir leur part de marché sur la matière non transformée par les usines.
Abordant dans le même contexte, le président de l’Union des ferrailleurs Modou Pène lance un appel à tous les acteurs de la ferraille de se signaler pour que le processus d’assainissement du milieu entamé depuis des an- nées soit achevé. Nous profiterons de l’occasion pour lancer un appel aux industriels pour leur notifier les difficultés que rencontrent les camions qui les approvisionnent. Les équipes éprouvent d’énormes difficultés à décharger. «
Cette situation impacte négativement sur l’économie des petites moyennes entreprises que nous sommes notamment à l’approche de la Tabaski. A ce propos, l’union compte mettre à la disposition des usines qui le désirent, des centrales de collecte décentralisées pour une bonne planification de l’approvisionnement », a expliqué le président. Poursuit notre interlocuteur, selon qui, ils sont dans un secteur qui a toujours été informel mais aujourd’hui ils sont exportateurs « on a d’énormes difficultés avec la législation douanière pour le transfert des fonds et autres ».
« Nous sollicitons l’Etat du Sénégal, la douane, le ministère du commerce, le ministère de l’environnement etc. Pour qu’on essaye de réorganiser le secteur de la ferraille. Tout le monde pense que le secteur de la ferraille est l’un des promoteurs au Sénégal qui fait bouger des business, et des milliards annuellement, c’est un secteur qui a besoin d’une certaine organisation », a suggéré Modou Pène.
Selon lui, il y a énormément de camions qui stagne au niveau des indus- triels parce que eux aussi ils sont en train de faire le maximum pour décharger. Mais aujourd’hui s’il y a le soutien de l’Etat et nous qui sommes dans chaque région du Sénégal d’ouvrir des unités de collecte, d’organiser la collecte de la ferraille et l’approvisionne- ment au niveau des industriels.
Pour hausse du prix de fer il y’a les emprunts qui viennent de l’extérieur ils sont obligés de l’importer ceci explique aussi cette hausse mais on est en train d’y travailler pour voir davantage avec le comité qui a mis en place le ministre du commerce ensemble avec les ferrailleurs les industriels comment faire pour mieux harmoniser les prix pour que le prix du fer au sénégalais lambda soit beaucoup plus accessible.
Pour la signature de convention on est en train de faire un appel parce que les industriels sont au Sénégal. « Ce qu’on veut dire en est qu’il ya aucune convention qui lie l’organisation des ferrailleurs et les industriels. Pour que ce qu’on est en train de faire soit beaucoup plus dynamique et visible il faut qu’il est des conventions avec les industriels pour assurer le donné des ferrailleurs qui sont derrières ». « Ce comité permet à nous les ferrailleurs, d’avoir un droit de regard sur comment on fixe le prix, contrairement à ce qui se faisait jusqu’ici où les industriels et exportateurs avaient seuls la latitude de décider du prix.
Ces efforts énumérés, ne signifient guère que le secteur ne connaît plus de difficultés, bien au contraire. Nous sommes en train de nous donner la main pour que ces difficultés quittent définitivement le secteur », informe-t-on