De quoi ont peur Ousmane Tanor Dieng et Cie? Pour la réunion du Secrétariat exécutif national (SEN) du Ps qui se tient actuellement, la police s’est invitée aux débats. Les reporters sur place ont constaté la présence de deux pik-up remplis de limiers, stationnés devant la maison du parti, sise à Colobane. Et à l’intérieur du siège des socialistes, le dispositif sécuritaire, fait de « gros bras », est tout aussi important.
Il faut dire que la situation est carabinée en ce moment au PS, où on se mène une guerre ouverte et surtout par médias interposés, entre partisans d’Ousamne Tanor Dieng et ceux de Khalifa Sall. Et la tension entre les deux camps, née de la convocation de proches du maire de Dakar à la police (suite aux événement du 5 mars dernier), est telle que ça peut dégénérer à la moindre occasion.
Et c’est sans doute pour ne pas prendre le risque de voir se reproduire les événements regrettables de mars dernier, quand des partisans du « NON » au référendum avaient envahi la permanence où se tenait la réunion du bureau politique, pour l’interrompre dans la casse et la bagarre, que la direction du parti a fait recours à la police et à des agents privés.
Il faut dire que la situation est carabinée en ce moment au PS, où on se mène une guerre ouverte et surtout par médias interposés, entre partisans d’Ousamne Tanor Dieng et ceux de Khalifa Sall. Et la tension entre les deux camps, née de la convocation de proches du maire de Dakar à la police (suite aux événement du 5 mars dernier), est telle que ça peut dégénérer à la moindre occasion.
Et c’est sans doute pour ne pas prendre le risque de voir se reproduire les événements regrettables de mars dernier, quand des partisans du « NON » au référendum avaient envahi la permanence où se tenait la réunion du bureau politique, pour l’interrompre dans la casse et la bagarre, que la direction du parti a fait recours à la police et à des agents privés.