« A chacun son tour chez le coiffeur » dit l’adage. Cette fois-ci, il s'agit de tailleur constitutionnel devant lequel Khalifa Sall et Karim Wade attendaient impatiemment leur tour. Ce, depuis des années … Ouf, c’est arrivé ! s'exclame « Le Témoin » quotidien. En effet, ce jeudi, l’Assemblée nationale sera érigée en « Salon constitutionnel » voire en « Atelier », où des grands boubous politiquement civiques et des « thiaya » pénalement légitimes, seront confectionnés sur mesure en faveur de Khalifa Sall et Karim Wade. Aux ciseaux, un grand maitre tailleur nommé Ismaila Madior Fall, diplômé de l’Ecole de haute couture et de coupe de l’Apr.
Les ourlets et les garnitures, c’est l’affaire des apprentis-tailleurs composés pour la plupart des députés de la majorité présidentielle (Bby). Bref, tout un habillement étrange ou grotesque pour rendre les deux « clients » de Macky Sall beaux à voir, à la foire présidentielle de 2024. Evidemment, il s’agit du projet de modification du code électoral visant à lever l’inéligibilité des citoyens condamnés en justice. « Le Témoin » quotidien jure que cette mode d’été s’adapte très bien aux physionomies de Karim Wade, condamné en 2015 à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite, ainsi qu’à Khalifa Sall, l’ancien maire de Dakar, lui aussi, condamné à cinq ans de prison ferme pour escroquerie aux deniers publics en 2018.
Les ourlets et les garnitures, c’est l’affaire des apprentis-tailleurs composés pour la plupart des députés de la majorité présidentielle (Bby). Bref, tout un habillement étrange ou grotesque pour rendre les deux « clients » de Macky Sall beaux à voir, à la foire présidentielle de 2024. Evidemment, il s’agit du projet de modification du code électoral visant à lever l’inéligibilité des citoyens condamnés en justice. « Le Témoin » quotidien jure que cette mode d’été s’adapte très bien aux physionomies de Karim Wade, condamné en 2015 à six ans de prison ferme pour enrichissement illicite, ainsi qu’à Khalifa Sall, l’ancien maire de Dakar, lui aussi, condamné à cinq ans de prison ferme pour escroquerie aux deniers publics en 2018.