Les questions qui seront débattues à partir de ce week-end dans notre capitale ne seront pas simples. Une quinzaine de chefs d’Etat ou de gouvernements (pour les chefs d’Etat empêchés) sont en effet attendus à Dakar, suite à leur convocation par le Président en exercice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Macky Sall. Le communiqué rendu public hier signale de façon bien évasive et lapidaire que « le Sommet porte sur la situation politique et sécuritaire dans la Sous-région ».
Mais décryptée, la situation se traduit bien concrètement par l’élection présidentielle qui se tient en Guinée (le président Alpha Condé est attendu à Dakar au plus tard le samedi matin), au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire.
Last but not least, le climat n’est pas de toute sérénité en Guinée Bissau où le Premier ministre vient de démissionner. Ce qui en rajoute à la crise très aiguë qui sévit dans ce pays chroniquement instable. C’est sans doute à cause de tous ces voyants qui se signalent au rouge, sans oublier le Mali naturellement, que la décision de convoquer un sommet extraordinaire a été prise. Sans doute, d’autres questions ne manqueront pas d’être évoquées comme celle migratoire qui fait l’actualité, ou le climat. Mais ce sont les problèmes de sécurité qui risquent d’être prioritaires.
Le ballet des chefs d’Etat démarre ce matin. Ibrahima Boubacar Keïta est attendu ce vendredi, en même temps que d’autres chefs d’Etat. L’Union africaine et les Nations unies seront représentées à ce sommet extraordinaire qui sera très suivi à l’international, du fait des enjeux qu’il draine...
Mais décryptée, la situation se traduit bien concrètement par l’élection présidentielle qui se tient en Guinée (le président Alpha Condé est attendu à Dakar au plus tard le samedi matin), au Burkina Faso et en Côte d’Ivoire.
Last but not least, le climat n’est pas de toute sérénité en Guinée Bissau où le Premier ministre vient de démissionner. Ce qui en rajoute à la crise très aiguë qui sévit dans ce pays chroniquement instable. C’est sans doute à cause de tous ces voyants qui se signalent au rouge, sans oublier le Mali naturellement, que la décision de convoquer un sommet extraordinaire a été prise. Sans doute, d’autres questions ne manqueront pas d’être évoquées comme celle migratoire qui fait l’actualité, ou le climat. Mais ce sont les problèmes de sécurité qui risquent d’être prioritaires.
Le ballet des chefs d’Etat démarre ce matin. Ibrahima Boubacar Keïta est attendu ce vendredi, en même temps que d’autres chefs d’Etat. L’Union africaine et les Nations unies seront représentées à ce sommet extraordinaire qui sera très suivi à l’international, du fait des enjeux qu’il draine...