L’ensemble des directeurs et agents de la Senelec étaient présents à la cérémonie de célébration du dixième anniversaire de l’Association des secrétaires et assistantes de la Senelec. La présidente de ladite association est revenue sur le pourquoi du thème qu’elles ont choisi pour accompagner leur anniversaire et qui se trouve être «la fraude» à laquelle l’entreprise fait face. «Nous étions engagées le 08 mars à accompagner la Senelec dans cette lutte contre la fraude», a expliqué Mme Sock avant d'ajouter : «nous allons nous y mettre, c’est, ailleurs la raison pour laquelle nous avons choisi ce thème pour concrétiser l’engagement que nous avions pris auprès du Directeur général d'accompagner cette direction dans la lutte contre la fraude», a-t-elle ajouté.
Au cours de cette rencontre, l’occasion a été donnée au Secrétaire général de la Senelec, Abdoulaye Dia, de dire l’importance du thème qui a été choisi par ces femmes. A son avis il s'agit d'un «sujet qui doit tenir à cœur tous les Sénégalais parce que la fraude est caractérisée, maintenant, comme un vol». C’est de l’électricité qui a été produite avec les moyens fournis par l’Etat et les consommateurs, si nous produisons 100 Kw/h, il y a plus de 10 kw/h qui sont volés par des consommateurs véreux qui ne se soucient pas de l’intérêt général, mais simplement de l’intérêt particulier», a-t-il indiqué. A l’en croire, ces 10% qui sont estimés à plus de vingt milliards de francs Cfa sont des ressources nationales «qui auraient permis de construire d’autres centrales, j’allais même dire d’autres écoles, d’autres routes, d’autres hôpitaux, d’autres routes», a-t-il fulminé. Poursuivant, il soutiendra qu’«il est de notre devoir de nous organiser pour que toute l’énergie produite soit vendue, collectée et resserve à l’investissement». Selon M. Dia, les agents et les consommateurs «doivent à lutter ensemble contre la fraude partout où elle est constatée, c’est-à-dire en dénonçant les clients soupçonnés de commettre des fraudes», a-t-il préconisé. Et pour mettre un terme à cela, il précisera : «nous sommes en train de nous organiser pour mettre en œuvre des moyens de lutter contre cette fraude, même au niveau législatif avec des lois qui doivent être prises comme dans beaucoup de pays du monde où la fraude sur l'électricité est considérée comme du vol, donc passible de peine d’emprisonnement ou d’amende», a-t-il conclu.
Au cours de cette rencontre, l’occasion a été donnée au Secrétaire général de la Senelec, Abdoulaye Dia, de dire l’importance du thème qui a été choisi par ces femmes. A son avis il s'agit d'un «sujet qui doit tenir à cœur tous les Sénégalais parce que la fraude est caractérisée, maintenant, comme un vol». C’est de l’électricité qui a été produite avec les moyens fournis par l’Etat et les consommateurs, si nous produisons 100 Kw/h, il y a plus de 10 kw/h qui sont volés par des consommateurs véreux qui ne se soucient pas de l’intérêt général, mais simplement de l’intérêt particulier», a-t-il indiqué. A l’en croire, ces 10% qui sont estimés à plus de vingt milliards de francs Cfa sont des ressources nationales «qui auraient permis de construire d’autres centrales, j’allais même dire d’autres écoles, d’autres routes, d’autres hôpitaux, d’autres routes», a-t-il fulminé. Poursuivant, il soutiendra qu’«il est de notre devoir de nous organiser pour que toute l’énergie produite soit vendue, collectée et resserve à l’investissement». Selon M. Dia, les agents et les consommateurs «doivent à lutter ensemble contre la fraude partout où elle est constatée, c’est-à-dire en dénonçant les clients soupçonnés de commettre des fraudes», a-t-il préconisé. Et pour mettre un terme à cela, il précisera : «nous sommes en train de nous organiser pour mettre en œuvre des moyens de lutter contre cette fraude, même au niveau législatif avec des lois qui doivent être prises comme dans beaucoup de pays du monde où la fraude sur l'électricité est considérée comme du vol, donc passible de peine d’emprisonnement ou d’amende», a-t-il conclu.