Suite à l’éclatement du Parti démocratique sénégalais (Pds), survenu au lendemain demain de la défaite au second tour de la dernière élection présidentielle, plusieurs formations politiques d’obédience libérale ont vu le jour. C’est le cas de l’Union des centristes du Sénégal (Ucs) d’Abdoulaye Baldé, l’Alliance pour la paix et le développement (Apd) de Thierno Lô, Mouvement des patriotes pour le développement (MPD/Liggey) de Aliou Sow et surtout la Convergence démocratique Bokk Gis Gis de Pape Diop, ex-président du Sénat.
Cette situation d’émiettement de ses rangs n’est pas sans conséquences pour l’opposition. En effet, plus que tout, l’ancien parti au pouvoir est affaibli par ses nombreux départs car, ce sont des ténors d’une certaine carrure politique qui ont quitté le navire du pape du Sopi. Une raison qui a poussé les différents démembrements du Pds, tel que le Comité directeur, à appeler, à plusieurs, reprises aux retrouvailles libérales. C’est le cas également de la Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) qui a vivement demandé à leurs différents responsables et surtout à Me Abdoulaye Wade de mettre les bouchées doubles pour que cela devienne une réalité. Que dire des jeunesses libérales dans leur globalité qui n’ont pas manqué de prendre position sur le sujet, rappelant la nécessité pour leur formation politique, au-delà d’une massification réelle, de veiller à rendre concret les fameuses retrouvailles libérales.
Ces différents appels ne sont pas tombés dans l’oreille de sourds. Et pour cause, l’annonçant depuis plusieurs mois, le leader de Bokk Gis Gis est « prêt » à aller jusqu’au bout. Selon les sources du journal, « malgré les difficultés, le président Pape Diop ne s’arrête pas de poser les actes pouvant conduire aux retrouvailles libérales. Chaque jour, il y travaille, même si d’un autre côté, des attaques proviennent de personnalités politiques qui ont un agenda caché ».
A en croire les interlocuteurs de Libération, l’ancien président du défunt Sénat « souhaite véritablement que de telles retrouvailles deviennent une réalité, surtout que sous peu, il sera question de faire face au Président Macky Sall lors de la prochaine élection présidentielle ». Confidence pour confidence, il est indiqué que l’ancien maire de Dakar « ne rate plus une seule occasion pour échanger avec Me Wade qui est un guide politique pour lui et surtout un confident, contrairement à ce que beaucoup croient. Il y a des liens très forts qui les unissent, une parfaite complicité entre deux hommes qui se respectent ».
Sur le même registre, les sources de nos confrères signalent qu’il entretient les « mêmes rapports avec Karim Wade qui est le candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour 2017. Mais, quel que soit le sort de ce dernier en direction de la prochaine élection présidentielle, le président Pape Diop a assuré qu’il travaillera tous les jours pour le faire sortir de prison ».
Il y a tout juste quelques mois, l’ancien président du Sénat faisait cette déclaration : « je n’ai cessé d’appeler aux retrouvailles de la famille libérale. Mais jusqu’à présent, mon appel n’a pas encore eu un écho favorable. Cela ne me décourage pas pour autant. Je continuerai à tendre la main à ma famille puisque nous sommes tous de la même famille. Si nous voulons gagner, nous devons aller ensemble. Nous devons être ensemble pour battre Macky Sall ».
Cette situation d’émiettement de ses rangs n’est pas sans conséquences pour l’opposition. En effet, plus que tout, l’ancien parti au pouvoir est affaibli par ses nombreux départs car, ce sont des ténors d’une certaine carrure politique qui ont quitté le navire du pape du Sopi. Une raison qui a poussé les différents démembrements du Pds, tel que le Comité directeur, à appeler, à plusieurs, reprises aux retrouvailles libérales. C’est le cas également de la Fédération nationale des cadres libéraux (Fncl) qui a vivement demandé à leurs différents responsables et surtout à Me Abdoulaye Wade de mettre les bouchées doubles pour que cela devienne une réalité. Que dire des jeunesses libérales dans leur globalité qui n’ont pas manqué de prendre position sur le sujet, rappelant la nécessité pour leur formation politique, au-delà d’une massification réelle, de veiller à rendre concret les fameuses retrouvailles libérales.
Ces différents appels ne sont pas tombés dans l’oreille de sourds. Et pour cause, l’annonçant depuis plusieurs mois, le leader de Bokk Gis Gis est « prêt » à aller jusqu’au bout. Selon les sources du journal, « malgré les difficultés, le président Pape Diop ne s’arrête pas de poser les actes pouvant conduire aux retrouvailles libérales. Chaque jour, il y travaille, même si d’un autre côté, des attaques proviennent de personnalités politiques qui ont un agenda caché ».
A en croire les interlocuteurs de Libération, l’ancien président du défunt Sénat « souhaite véritablement que de telles retrouvailles deviennent une réalité, surtout que sous peu, il sera question de faire face au Président Macky Sall lors de la prochaine élection présidentielle ». Confidence pour confidence, il est indiqué que l’ancien maire de Dakar « ne rate plus une seule occasion pour échanger avec Me Wade qui est un guide politique pour lui et surtout un confident, contrairement à ce que beaucoup croient. Il y a des liens très forts qui les unissent, une parfaite complicité entre deux hommes qui se respectent ».
Sur le même registre, les sources de nos confrères signalent qu’il entretient les « mêmes rapports avec Karim Wade qui est le candidat du Parti démocratique sénégalais (Pds) pour 2017. Mais, quel que soit le sort de ce dernier en direction de la prochaine élection présidentielle, le président Pape Diop a assuré qu’il travaillera tous les jours pour le faire sortir de prison ».
Il y a tout juste quelques mois, l’ancien président du Sénat faisait cette déclaration : « je n’ai cessé d’appeler aux retrouvailles de la famille libérale. Mais jusqu’à présent, mon appel n’a pas encore eu un écho favorable. Cela ne me décourage pas pour autant. Je continuerai à tendre la main à ma famille puisque nous sommes tous de la même famille. Si nous voulons gagner, nous devons aller ensemble. Nous devons être ensemble pour battre Macky Sall ».