Face à la presse, le secrétaire général du syndicat et ses camarades sont formels : « Nous n’accepterons pas d’être les agneaux du sacrifice. Il y a un acharnement sur le secteur du nettoiement. Nous sommes fatigués d’être ballottés d’un ministère à un autre. Nous avons pris acte de la décision et cela ne nous surprend pas. C’est une décision politique et non technique », a déploré M. Sy qui trouve que « les autorités étatiques n’ont aucun respect pour les professionnels du nettoiement ».
Outré, Madany Sy de poursuivre : « Les autorités veulent précariser notre travail, mais nous ne l’accepterons pas. Il s’agit d’un éternel recommencement. S’ils ont des comptes à régler, ils n’ont qu’à le faire ailleurs. Nous sommes restés 10 ans sans avoir de statut car, depuis son installation, la nouvelle direction de l’Entente a entrepris d’importantes réformes allant dans le sens de l’amélioration des conditions de travail et des conditions sociales permettant aux travailleurs de retrouver leur dignité ». Le syndicaliste ajoute : « Malgré ces acquis, nous avons comme l’impression que l’Etat donne par la main droite et retire avec la main gauche. Depuis qu’il y a eu appel d’offres, il y a eu une guéguerre au niveau de l’Etat et on ne sait pas à quoi s’en tenir. Le secteur du nettoiement n’est pas un gâteau à partager, on ne peut même pas avoir le 1 milliard restant sur les 10 milliards de FCfa que l’Etat verse au secteur chaque année et qui reste actuellement dans le circuit du trésor. Et cela, malgré le paiement des prestations de collecte en Ttc depuis janvier 2015 ».
Dans le même sillage, le syndicaliste avertit : « Les autorités veulent précariser notre travail. Mais, nous n’accepterons pas d’être sacrifiés sur des plans politiques, car l’Etat ne veut pas enrichir ses adversaires. Celui qui est visé, c’est le président de l’Entente Cadak-Car, Khalifa Sall. Ce que nous n’accepterons pas. Le ministre des collectivités locales nous a mis devant le fait accompli, nous avons pris acte. Nous ne sommes plus des gosses. Et la balle est dans le camp des travailleurs ».
Outré, Madany Sy de poursuivre : « Les autorités veulent précariser notre travail, mais nous ne l’accepterons pas. Il s’agit d’un éternel recommencement. S’ils ont des comptes à régler, ils n’ont qu’à le faire ailleurs. Nous sommes restés 10 ans sans avoir de statut car, depuis son installation, la nouvelle direction de l’Entente a entrepris d’importantes réformes allant dans le sens de l’amélioration des conditions de travail et des conditions sociales permettant aux travailleurs de retrouver leur dignité ». Le syndicaliste ajoute : « Malgré ces acquis, nous avons comme l’impression que l’Etat donne par la main droite et retire avec la main gauche. Depuis qu’il y a eu appel d’offres, il y a eu une guéguerre au niveau de l’Etat et on ne sait pas à quoi s’en tenir. Le secteur du nettoiement n’est pas un gâteau à partager, on ne peut même pas avoir le 1 milliard restant sur les 10 milliards de FCfa que l’Etat verse au secteur chaque année et qui reste actuellement dans le circuit du trésor. Et cela, malgré le paiement des prestations de collecte en Ttc depuis janvier 2015 ».
Dans le même sillage, le syndicaliste avertit : « Les autorités veulent précariser notre travail. Mais, nous n’accepterons pas d’être sacrifiés sur des plans politiques, car l’Etat ne veut pas enrichir ses adversaires. Celui qui est visé, c’est le président de l’Entente Cadak-Car, Khalifa Sall. Ce que nous n’accepterons pas. Le ministre des collectivités locales nous a mis devant le fait accompli, nous avons pris acte. Nous ne sommes plus des gosses. Et la balle est dans le camp des travailleurs ».