Les partisans de l’ex-Ministre des relations internationales sous le magistère de Me Wade, réclament la diligence du dossier concernant la loi d’amnistie. Ces militants ont formulé la demande hier, vendredi 24 février 2023, lors d’une rencontre avec la presse, tenue dans la capitale du Saloum.
Soutenus par le Grand mouvement pour le Développement du Sénégal (Gmds), ils réclament l’amnistie de leur candidat, pour lui assurer de disposer d’un temps matériel lui permettant non seulement d’introduire sa candidature auprès du Conseil constitutionnel, mais d’avoir surtout le privilège de mobiliser les ressources techniques et financières nécessaires, pour contribuer à la période de pré campagne et campagne électorale, une fois que sa candidature sera validée par l’organe de régulation.
A une année de la prochaine présidentielle du 25 février 2024, ces pro Karim Wade, par la voix de leur porte-parole Serigne Mor Sokhna, se disent inquiets des incertitudes gravitant autour des candidatures, dans un contexte où personne n’est encore fixé sur son sort. Car ni le Président sortant Macky Sall, ni Ousmane Sonko encore moins Khalifa Sall ou quelqu’un d’autre, n’a encore la certitude de participer à la prochaine présidentielle. C’est pourquoi, trouvent-ils, l’amnistie attendue par certains leaders politiques pressentis à la présidentielle, peut en évidence, décanter la situation, le temps d’attendre la décision finale du Conseil constitutionnel.
A en croire "Sud Quotidien", outre le rétablissement des droits politiques et civiques qu’elle porte naturellement en faveur d’un certain nombre de citoyens, cette loi d’amnistie, comme appréciée par les partisans de Karim Wade, pourra offrir tous les honneurs au Président Macky Sall. Car en dépit d’un renforcement du système démocratique qu’il engendre pour notre pays, c’est aussi une décision présidentielle qui touchera sensiblement à l’honneur de son prédécesseur, le Président Abdoulaye Wade et marquera sans doute, une fin de carrière politique élogieuse pour un personnage ayant tout donné à la démocratie au Sénégal.
Soutenus par le Grand mouvement pour le Développement du Sénégal (Gmds), ils réclament l’amnistie de leur candidat, pour lui assurer de disposer d’un temps matériel lui permettant non seulement d’introduire sa candidature auprès du Conseil constitutionnel, mais d’avoir surtout le privilège de mobiliser les ressources techniques et financières nécessaires, pour contribuer à la période de pré campagne et campagne électorale, une fois que sa candidature sera validée par l’organe de régulation.
A une année de la prochaine présidentielle du 25 février 2024, ces pro Karim Wade, par la voix de leur porte-parole Serigne Mor Sokhna, se disent inquiets des incertitudes gravitant autour des candidatures, dans un contexte où personne n’est encore fixé sur son sort. Car ni le Président sortant Macky Sall, ni Ousmane Sonko encore moins Khalifa Sall ou quelqu’un d’autre, n’a encore la certitude de participer à la prochaine présidentielle. C’est pourquoi, trouvent-ils, l’amnistie attendue par certains leaders politiques pressentis à la présidentielle, peut en évidence, décanter la situation, le temps d’attendre la décision finale du Conseil constitutionnel.
A en croire "Sud Quotidien", outre le rétablissement des droits politiques et civiques qu’elle porte naturellement en faveur d’un certain nombre de citoyens, cette loi d’amnistie, comme appréciée par les partisans de Karim Wade, pourra offrir tous les honneurs au Président Macky Sall. Car en dépit d’un renforcement du système démocratique qu’il engendre pour notre pays, c’est aussi une décision présidentielle qui touchera sensiblement à l’honneur de son prédécesseur, le Président Abdoulaye Wade et marquera sans doute, une fin de carrière politique élogieuse pour un personnage ayant tout donné à la démocratie au Sénégal.