L’ancienne ministre, Aminata Touré, a déclaré lors d’une conférence de presse conjointe avec le mouvement Frapp et plusieurs organisations de travailleurs de différentes sociétés du pays, que « le Conseil supérieur de la magistrature doit être ouvert aux représentants des travailleurs, aux jeunes et aux femmes, pour mieux faire face aux problèmes des travailleurs ». Mme Mimi Touré tenait ces déclarations, ce jeudi, en marge d’une conférence de presse conjointe entre le Frapp et plusieurs organisations de travailleurs de différentes sociétés du pays, à laquelle elle a pris part.
A en croire Aminata Touré, les travailleurs rencontrent des difficultés énormes et et font face à des injustices qui méritent une attention particulière de la part de l’Etat. Elle a, à cet effet, plaidé pour une réforme du Conseil supérieur de la magistrature, pour mieux gérer les questions sociales et d’équité, renseigne "Sud Quotidien".
A cet effet, dit-elle, il incombe à l’Etat d’assumer ses responsabilités et de faire en sorte que les droits des travailleurs soit respectés. « Si l’Etat voulait que les arriérés de salaire soient payés aux travailleurs, ils le seront (…) l’Etat de droit n’est pas que de la théorie, il faut qu’on ait une conférence du travail pour restaurer cette injustice. Dans un Etat de droit, c’est inacceptable», a confié l’ancienne Première ministre, qui a par ailleurs, évoqué les contentieux des travailleurs de la Sotrac, de la biscuiterie Wehbe, de Matforce, des ASP, entre autres.
En ce qui concerne d’ailleurs l’Agence de la sécurité de proximité, l’ancienne député croit que plusieurs manquements sont à relever dans les problèmes que rencontrent les Asp.
« L’agence devait à cette heure, être formalisée, pour être une force de proposition (…) les salaires sont aujourd’hui dépassés, les 50 000 FCfa datent de 10 ans. Il faut que les travailleurs soient intégrés comme des agents de l’Etat, pour relever le niveau de précarité», a expliqué la responsable politique, qui ambitionne de conquérir la magistrature suprême.
Face aux différents collectifs de travailleurs de société, Aminata Touré s’est également prononcée sur la gestion foncière, qui, selon elle, mérite d’être revue. Pour l’ancienne présidente du CESE, il est fondamental de mettre en place une commission nationale de gestion du domaine foncier, qui soit décentralisée, pour une gestion transparente du domaine national.
La responsable politique s’est désolé des lenteurs sur la livraison de l’hôpital de Gandiaye.
A en croire Aminata Touré, les travailleurs rencontrent des difficultés énormes et et font face à des injustices qui méritent une attention particulière de la part de l’Etat. Elle a, à cet effet, plaidé pour une réforme du Conseil supérieur de la magistrature, pour mieux gérer les questions sociales et d’équité, renseigne "Sud Quotidien".
A cet effet, dit-elle, il incombe à l’Etat d’assumer ses responsabilités et de faire en sorte que les droits des travailleurs soit respectés. « Si l’Etat voulait que les arriérés de salaire soient payés aux travailleurs, ils le seront (…) l’Etat de droit n’est pas que de la théorie, il faut qu’on ait une conférence du travail pour restaurer cette injustice. Dans un Etat de droit, c’est inacceptable», a confié l’ancienne Première ministre, qui a par ailleurs, évoqué les contentieux des travailleurs de la Sotrac, de la biscuiterie Wehbe, de Matforce, des ASP, entre autres.
En ce qui concerne d’ailleurs l’Agence de la sécurité de proximité, l’ancienne député croit que plusieurs manquements sont à relever dans les problèmes que rencontrent les Asp.
« L’agence devait à cette heure, être formalisée, pour être une force de proposition (…) les salaires sont aujourd’hui dépassés, les 50 000 FCfa datent de 10 ans. Il faut que les travailleurs soient intégrés comme des agents de l’Etat, pour relever le niveau de précarité», a expliqué la responsable politique, qui ambitionne de conquérir la magistrature suprême.
Face aux différents collectifs de travailleurs de société, Aminata Touré s’est également prononcée sur la gestion foncière, qui, selon elle, mérite d’être revue. Pour l’ancienne présidente du CESE, il est fondamental de mettre en place une commission nationale de gestion du domaine foncier, qui soit décentralisée, pour une gestion transparente du domaine national.
La responsable politique s’est désolé des lenteurs sur la livraison de l’hôpital de Gandiaye.