Le ministre auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, chargé de la Bonne gouvernance et de la Promotion des droits humains, Mamadou Saliou Sow, loue la nécessité d’évaluer les acquis obtenus du secteur minier, mais aussi souligne les manquements.
«Le Sénégal a fait des progrès indéniables dans le secteur des mines, qui lui ont notamment valu une reconnaissance internationale au titre de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries extractives (Itie). Toutefois, force est de reconnaitre que d’importants défis restent à adresser, de la négociation des contrats miniers à leur mise en œuvre. A titre indicatif, la problématique de la responsabilité des entreprises ainsi que la question de l’impact économique et social de l’exploitation des mines pour les populations locales demeurent des sujets de réelle préoccupation».
Le ministre auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, chargé de la Bonne gouvernance et de la Promotion des droits humains s’exprimait hier, jeudi 16 février, lors du lancement de la Mission d’évaluation ciblée sur les ressources minières.
Selon toujours Mamadou Salif Sow, «l’évaluation ciblée du secteur minier, dans notre pays, procède d’une réelle volonté politique de mesurer le chemin parcouru et celui qui reste à faire dans ce domaine».
Il ajoute ainsi qu’il est nécessaire de faire un diagnostic sans complaisance de l’exploitation minière pour permettre d’identifier des options stratégiques pour une meilleure gouvernance du secteur. En lançant une évaluation sur le secteur minier, l’Etat cherche à harmoniser les points de vue de toutes les parties prenantes sur les décisions qui devront être prises, afin que les retombées des ressources minières puissent être plus ressenties par la population.
Pour le professeur Ibrahima Thioub, président de la Commission nationale de gouvernance (Cng), l’évaluation ciblée du Sénégal dans le secteur minier devra fournir des réponses sur les questions clés comme l’impact du Code minier de 2016, l’effectivité des fonds crées par ce code, la situation des contrats miniers, l’impact des politiques d’exonération fiscale et des mesures incitatives dans le secteur minier sur l’économie.
Mieux, elle devra aussi servir à mesurer les impacts sociaux et environnementaux de l’exploitation minière, les enjeux sécuritaires, les enjeux de transformation et de valorisation des produits miniers
«Le Sénégal a fait des progrès indéniables dans le secteur des mines, qui lui ont notamment valu une reconnaissance internationale au titre de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries extractives (Itie). Toutefois, force est de reconnaitre que d’importants défis restent à adresser, de la négociation des contrats miniers à leur mise en œuvre. A titre indicatif, la problématique de la responsabilité des entreprises ainsi que la question de l’impact économique et social de l’exploitation des mines pour les populations locales demeurent des sujets de réelle préoccupation».
Le ministre auprès du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, chargé de la Bonne gouvernance et de la Promotion des droits humains s’exprimait hier, jeudi 16 février, lors du lancement de la Mission d’évaluation ciblée sur les ressources minières.
Selon toujours Mamadou Salif Sow, «l’évaluation ciblée du secteur minier, dans notre pays, procède d’une réelle volonté politique de mesurer le chemin parcouru et celui qui reste à faire dans ce domaine».
Il ajoute ainsi qu’il est nécessaire de faire un diagnostic sans complaisance de l’exploitation minière pour permettre d’identifier des options stratégiques pour une meilleure gouvernance du secteur. En lançant une évaluation sur le secteur minier, l’Etat cherche à harmoniser les points de vue de toutes les parties prenantes sur les décisions qui devront être prises, afin que les retombées des ressources minières puissent être plus ressenties par la population.
Pour le professeur Ibrahima Thioub, président de la Commission nationale de gouvernance (Cng), l’évaluation ciblée du Sénégal dans le secteur minier devra fournir des réponses sur les questions clés comme l’impact du Code minier de 2016, l’effectivité des fonds crées par ce code, la situation des contrats miniers, l’impact des politiques d’exonération fiscale et des mesures incitatives dans le secteur minier sur l’économie.
Mieux, elle devra aussi servir à mesurer les impacts sociaux et environnementaux de l’exploitation minière, les enjeux sécuritaires, les enjeux de transformation et de valorisation des produits miniers