Dans une parfaite symphonie avec les professionnels de la pêche à GuetNdar, lors d’une rencontre d’échange, Mme Diack Anta Babacar Ngom laisse entendre que «ces accords ne profitent guère aux professionnels et il faut se demander à qui cela profite».
Aussi, pour soulager ces riverains en quête d’avenir meilleur, elle promet de revoir tous ces accords de pêche signés, estimant qu’ils ont surtout contribué à la raréfaction des ressources halieutiques, et expliquent en partie le choix des jeunes d’embarquer sur les pirogues pour aller en Europe.
«Les jeunes n’ont plus d’activités, car la ressource se fait rare et ils ne trouvent leur salut que dans ces voyages risqués», a dit le leader du mouvement Alternative pour la relève citoyenne (Arc), investie le 3 août dernier
À Guet-Ndar, Anta Babacar Ngom a rappelé les raisons qui l’ont poussée à entrer en politique. Elle estime que l’heure est venue de faire confiance aux jeunes et aux femmes, afin de changer positivement ce pays qui regorge de ressources. Cependant, pour elle, à la prochaine présidentielle, «les femmes ne vont élire personne d’autre qu’une de leurs sœurs».
Mme Diack Ngom qui se définit comme une «créatrice d’emplois», estime que l’heure est venue de faire confiance à ceux qui ont fait leurs preuves dans des secteurs d’activités économiques au Sénégal
Tribune
Aussi, pour soulager ces riverains en quête d’avenir meilleur, elle promet de revoir tous ces accords de pêche signés, estimant qu’ils ont surtout contribué à la raréfaction des ressources halieutiques, et expliquent en partie le choix des jeunes d’embarquer sur les pirogues pour aller en Europe.
«Les jeunes n’ont plus d’activités, car la ressource se fait rare et ils ne trouvent leur salut que dans ces voyages risqués», a dit le leader du mouvement Alternative pour la relève citoyenne (Arc), investie le 3 août dernier
À Guet-Ndar, Anta Babacar Ngom a rappelé les raisons qui l’ont poussée à entrer en politique. Elle estime que l’heure est venue de faire confiance aux jeunes et aux femmes, afin de changer positivement ce pays qui regorge de ressources. Cependant, pour elle, à la prochaine présidentielle, «les femmes ne vont élire personne d’autre qu’une de leurs sœurs».
Mme Diack Ngom qui se définit comme une «créatrice d’emplois», estime que l’heure est venue de faire confiance à ceux qui ont fait leurs preuves dans des secteurs d’activités économiques au Sénégal
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